Algorithmes et structuration de programmes

1. Les structures de base d’un langage de programmation

1.1. La séquence d’instructions

1.2. L’affectation

1.3. la structure alternative

1.4. La structure répétitive

1.5. La compilation

1.6. La déclaration des variables

1.7. Les fonctions et procédures

2. Règles de programmation

3. La syntaxe du pseudo-langage

4. Comment analyser un problème ?

5. Un peu d’entraînement

5.1. L’alternative

5.2. La boucle

5.3. Contraction

5.4. Doublons

5.5. Equivalence

5.6. Eparpillement

5.7. Inversion

5.8. Palindrome

5.9. Cryptage

5.10. Comptage

5.11. Les tris

5.12. Le calcul des heures

5.13. Le jeu du pendu

5.14. Le crible d’Erathostène

6. Quelques corrigés en langage Java

6.1. Alternative

6.2. Alternative2

6.3. Boucle

6.4. Statistiques

6.5. Contraction

6.6. Doublons

6.7. Equivalence

6.8. Eparpillement

6.9. Inversion

6.10. Palindrome

6.11. Cryptage

6.12. Comptage

6.13. Dichotomie

6.14. TriSelection

6.15. Tri Bulle

6.16. TriPermutation

6.17. Tri Comptage

6.18. Tri Alphabétique


  1. Les structures de base d’un langage de programmation

Pour qu’un ordinateur fonctionne, il est nécessaire de lui dire quoi faire. Toute action réalisée par une machine a été programmée par un être humain (du moins pour l’instant); un ordinateur ne décide de rien, il fait « bêtement » ce qu’il lui a été programmé.

Mais qu’est-ce que programmer ?

C’est écrire une série d’actions élémentaires compréhensibles par le « cerveau » de la machine, cette succession permettant de réaliser une action plus compliquée.

Chacune de ces actions plus compliquées, étant connue de la machine, peut être utilisée comme les actions élémentaires du départ pour construire des actions encore plus complexes.

La machine a son propre langage appelé langage machine. Il serait trop compliqué d’écrire directement les programmes en langage dit de bas niveau. Nous utilisons donc des langages dits « évolués » compréhensibles pour un initié. Ce langage sera ensuite traduit en langage machine. Malgré que les langages soient de plus en plus proches du langage humain, ils ne sont pas directement lisibles. C’est pourquoi, dans ce qui suit, nous allons utiliser un pseudo-langage, comportant toutes les structures de base d’un langage de programmation. Il suffira ensuite de traduire notre « pseudo » en langage évolué en fonction des possibilités de ce langage. Par exemple, le langage Java permet plus de type d’actions qu’un langage tel que le Cobol

Un programme est donc une suite d’instructions exécutées par la machine.

Ces instructions peuvent :

soit s’enchaîner les unes après les autres, on parle alors de séquence d’instructions;

ou bien s’exécuter dans certains cas et pas dans d’autres, on parle alors de structure alternative;

ou se répéter plusieurs fois, on parle alors de structure répétitive.

La séquence d’instructions

Une instruction est une action que l’ordinateur est capable d’exécuter.

Chaque langage de programmation fournit une liste des instructions qui sont implémentées et que l’on peut donc utiliser sans les réécrire en détail.

Structurer un programme s’effectue que le programme soit écrit en C, en Java, en Visual Basic. Dans un premier temps, nous écrirons nos programmes en utilisant un pseudo-langage que nous pourrons traduire ensuite dans l’un des langages de programmation.

Pour illustrer notre propos, prenons l’exemple du déroulement de la journée de Buggy.

Une séquence d’instruction serait :

Se lever

Prendre sa douche

Prendre le petit déjeuner

S’habiller

Vous voyez que l’ordre des instructions a de l’importance : « S’habiller » puis « prendre sa douche » conduit à un résultat pas génial que nous appellerons un « bug ». Cependant certaines instructions peuvent se dérouler dans un ordre indifférent: « prendre sa douche » et « prendre son petit déjeuner » peuvent être inversés sans préjudice pour le résultat.

Une alternative s’exprime par si ….. sinon……

Si fin de semaine ou congé

Se lever

Prendre son petit déjeuner

Prendre sa douche

Mettre sa tenue de sport

Faire son jogging

Sinon

Se lever

Prendre son petit déjeuner

Prendre sa douche

Mettre sa tenue de travail

Aller travailler

Que la condition soit réalisée (condition vraie) ou qu’elle ne le soit pas (condition fausse) les premières actions sont les mêmes et se passent dans le même ordre ce qui permet la simplification suivante :

Se lever

Prendre son petit déjeuner

Prendre sa douche

Si fin de semaine ou congé

Mettre sa tenue de sport

Faire son jogging

Sinon

Mettre sa tenue de travail

Aller travailler

Remarquez que les actions si vrai ou si faux sont décalées par rapport aux autres instructions afin de permettre une meilleure lisibilité; on parle d’indentation.

Pour illustrer l’itérative ou répétitive (les deux termes sont équivalents), continuons notre exemple en supposant que Buggy dont nous vivons la journée palpitante, soit un employé de banque. La routine journalière de cet employé est :

Ouvrir guichet

Appeler premier client

Tant que client dans file d’attente et pas fin de journée

Traiter client

Appeler client suivant

FinTantQue

Les deux actions « Traiter client » et « Appeler client suivant » vont se répéter tant que la condition située derrière l’instruction « Tant que » est vérifiée.

Considérons maintenant le programme complet de la journée de Buggy

Se lever

Prendre son petit déjeuner

Prendre sa douche

Si fin de semaine ou congé

Mettre sa tenue de sport

Faire son jogging

Passer une journée de détente

Sinon

Mettre sa tenue de travail

Aller travailler

Faire travail

FinSi

Rentrer à la maison

Dîner

Aller se coucher

Fonction travail

Ouvrir guichet

Appeler premier client

Tant que pas heure de déjeuner

Faire guichet

FinTantQue

Déjeuner

Tant que client et pas heure de sortie

Faire guichet

FinTantQue

Fin Fonction

Fonction Guichet

Si client en file d’attente

Traiter client

Appeler client suivant

Sinon

Classer

FinSi

Fin Fonction

Remarques : Faire travail étant une instruction assez complexe, elle a été détaillée dans la fonction Travail pour une meilleure lisibilité du programme. De même, nous avons créé une fonction guichet afin de ne pas répéter la même séquence d’instructions deux fois dans le programme.

Notre programme a donc été scindé en deux parties :

le corps du programme de la ligne 1 à la ligne 15

les fonctions ou sous-programmes internes à partir de la ligne 17.

Comment cela se passe-t-il lorsque nous rencontrons un appel de fonction ?

A la ligne 11 nous avons « Faire travail » qui indique à la machine qu’elle doit aller en ligne 17 qui correspond au début de la fonction appelée. La procédure fait les actions des lignes 18, 19 et 20. Elle trouve à nouveau un appel de fonction, cette fois-ci « Faire guichet » donc elle se débranche vers la ligne 29 et exécute les instructions jusqu’à la ligne 36 où se trouve « Fin fonction » se qui ramène la machine à l’instruction se situant juste après  » Faire guichet » c’est à dire ligne 22. puis les actions des lignes 20, 21, 22 vont se répéter n fois jusqu’à l’heure de déjeuner. Ensuite, la ligne 23 est exécutée et à nouveau il y aura répétition de faire guichet (avec débranchement à la ligne 29 et retour à la ligne 26. Lorsque nous arrivons sur la ligne 27 « Fin fonction », nous retournons à la ligne 12.

Dans notre pseudo-langage, nous n’aurons que la liste minimum d’instructions, nécessaire et suffisante pour les programmes que nous aurons à écrire.

L’affectation

Variable Valeur

Ce qui se lit « variable reçoit valeur » et qui signifie que nous mémorisons la valeur à un endroit nommé variable. Nous pourrions aussi dire que nous rangeons une valeur dans des cases de la mémoire que nous nommons variable.

Par exemple :

i 1

Termine VRAI*

Il ne faut jamais confondre valeur et variable. Une variable est caractérisée par :

une adresse c’est à dire un emplacement dans la mémoire de la machine,

un type permettant d’indiquer la nature de l’information contenue,

éventuellement une longueur si le type ne le définit pas.

Quand nous aurons affaire à une variable numérique, nous écrirons

nCompteur 0

nSalaire nSalaireBase

Dans le premier exemple, nous envoyons la constante 0 dans une variable nommée nCompteur.

Dans le deuxième exemple, nous envoyons le contenu de la variable nSalaireBase comme contenu de la variable nSalaire.

Quand nous sommes en présence d’une variable alphanumérique, nous écrirons

strMessage « Bonjour »

strMesage Bonjour

Dans le premier cas, nous envoyons la constante Bonjour dans une variable nommée strMessage.

« AFFICHER strMessage » donnera comme résultat l’affichage du mot Bonjour.

Dans le deuxième exemple, nous envoyons le contenu de la variable nommée Bonjour qui peut contenir BYE comme contenu de la variable strMessage.

« AFFICHER strMessage » donnera comme résultat l’affichage du mot BYE.

les opérations

Les opérations arithmétiques courantes, addition, soustraction, multiplication et division s’écrivent ainsi :

variable val1 + val2

variable val1 – val2

variable val1 * val2

variable val1 / val2

On doit toujours affecter le résultat d’une opération dans une variable.

le dialogue avec l’utilisateur

Pour permettre au programme de dialoguer avec l’utilisateur, c’est à dire d’afficher un résultat à l’écran et de lire une entrée au clavier, il faut au moins deux instructions une pour lire, l’autre pour afficher.

Dans le pseudo-langage, elles s’écrivent ainsi :

LIRE Variable

AFFICHER Texte Variable Variable Texte …

La première lit tous les caractères qui sont saisis au clavier, jusqu’à ce que l’utilisateur appuie sur la touche entrée, et range le résultat dans la variable.

La seconde affiche sur l’écran le ou les textes et la valeur des variables.

exemple :

AFFICHER « Quel est ton nom ? « 

LIRE nom_utilisateur

AFFICHER « Ton nom est :  » nom_utilisateur « . Le mien est TOTO »

la structure alternative

Il est souvent nécessaire lorsque nous écrivons un programme de distinguer plusieurs cas conditionnant l’exécution de telles ou telles instructions. Pour ce faire, on utilise une structure alternative : si on est dans tel cas, alors on fait cela sinon on fait ceci.

La syntaxe de cette instruction est la suivante :

SI condition ALORS

actions si vrai

[ SINON

actions si faux]

FINSI

Les crochets signifient que la partie « sinon actions » est facultative.

SI condition ALORS

actions si vrai

FINSI

Exemples :

Pour avoir la valeur absolue (appelée nAbsolu dans notre exemple) d’un nombre (n1 dans notre exemple), s’il est négatif nous le multiplions par –1 sinon la valeur absolue égale le nombre :

SI (n 1 < 0) ALORS

nAbsolu n1 * (-1)

SINON

nAbsolu n1

FINSI

Ne faire la division que si le diviseur n2 n’est pas égal à zéro :

SI (n2 <> 0) ALORS

nResultat n3 / n2

FINSI

Les conditions

Pour exprimer les conditions on utilise les opérateurs conditionnels suivants :

= égal

< inférieur

> supérieur

<= inférieur ou égal

>= supérieur ou égal

<> différent

(n1 < 1)

(strToto <> strTiti)

On peut combiner des conditions à l’aide des opérateurs logiques suivants : ET OU NON XOR(ou exclusif)

((n1<2) ET ((n2 = 0) OU (n3 <>n1)) XOR (n4 = 1))

Lorsque l’on écrit de telles conditions, il est recommandé de mettre toutes les parenthèses afin d’éviter les erreurs car les opérateurs ont une hiérarchie qui ne collera pas nécessairement avec votre logique.

Les actions

Les actions qui suivent sinon ou alors peuvent être :

– une simple instruction

– une suite d’instructions séparées par des ;

– une autre alternative

– une répétitive

La structure répétitive

Un programme a presque toujours pour rôle de répéter la même action un certain nombre de fois. Pour ce faire, nous utiliserons une structure permettant de dire  » Exécute telles actions jusqu’à ce que telle condition soit remplie ».

Bien qu’une seule soit nécessaire, la plupart des langages de programmation proposent trois types de structure répétitive.

Voici celles de notre pseudo-langage.

TantQue

TantQue condition

actions

FinTQ

Ce qui signifie : tant que la condition est vraie, on exécute les actions.

exemple :

bSuite Vrai;

TantQue (bSuite)

n1 n1+1;

SI (strFin = « oui »)

ALORS bFini faux

FinSi

FinTQ

Faire Jusqu’à

FAIRE

actions

JUSQUA condition

Ce qui signifie que l’on exécute les actions jusqu’à ce que la condition soit vraie.

exemple :

bFini -FAUX;

Faire

n1 n1+1;

SI (n2 / n1 < nEpsilon)

ALORS bFini VRAI

SINON n2 n2 / n1

FINSI

Jusqua (bFiini = VRAI);

Pour

Très souvent, nous utilisons une structure répétitive avec un compteur et nous arrêtons lorsque le compteur a atteint sa valeur finale.

n1 1

TantQue (n1 < 10)

nFactoriel nFactoriel * n1

n1 n1 + 1

FINTQ

C’est pourquoi la plupart des langages de programmation offrent une structure permettant d’écrire cette répétitive plus simplement. Dans le pseudo-langage c’est la structure pour :

POUR variable ALLANT DE valeur initiale A valeur finale [PAS valeur du pas]

actions

FinPour

Lorsque le PAS est omis, il est supposé égal à +1.

POUR n1 ALLANT DE 1 A 10

nFactoriel nFactoriel * n1

FinPour

La compilation

Un langage de programmation sert à écrire des programmes de manière à les exécuter. Des outils permettent de traduite le langage écrit par le programmeur en langage machine.

Ils fonctionnent de la manière suivante :

Programme
source

Fichier
exécutable

Fichier
objet

Compilateur

Éditeur de liens

Bibliothèques

Erreurs

Erreurs

Le compilateur analyse le langage source afin de vérifier la syntaxe et de générer un fichier objet en langage intermédiaire assez proche du langage machine. Tant qu’il y a des erreurs de syntaxe, le compilateur est incapable de générer le fichier objet.

Souvent, on utilise dans un programme des fonctions qui soit ont été écrites par quelqu’un d’autre soit sont fournies dans une bibliothèque (graphique par exemple). Dans ce cas, le compilateur ne les connaît pas et ne peut donc pas générer le langage intermédiaire correspondant.

C’est le travail de l’éditeur de liens que d’aller résoudre les références non résolues. C’est à dire que lorsqu’il est fait appel dans le fichier objet à des fonctions ou des variables externes, l’éditeur de liens recherche les objets ou bibliothèques concernés et génère l’exécutable. Il se produit une erreur lorsque l’éditeur de liens ne trouve pas ces références.

La déclaration des variables

Un programme exécutable est composé de deux parties :

La partie instructions contient les instructions à exécuter.

La partie données contient toutes les variables utilisées par le programme.

Un programme exécutable est chargé dans la mémoire centrale de l’ordinateur, les valeurs que l’on a affectées aux variables doivent être conservées tout le temps du déroulement du programme. Par conséquent, il faut que le programme soit capable de réserver la place nécessaire aux variables.

Pour ce faire, les variables doivent être déclarées afin que le compilateur sache quelle place elles vont occuper.

Les types de variables

Les variables que l’on utilise dans les programmes ne sont pas toutes de même nature, il y a des nombres, des caractères, … On dit que les variables sont typées.

Il est nécessaire de donner un type aux variables, car cela permet d’une part de contrôler leur utilisation (ex: on ne peut pas diviser un caractère par un entier) et d’autre part car cela indique quelle place il faut réserver pour la variable.

Généralement les langages de programmation offrent les types suivants :

entier : il s’agit des variables destinées à contenir un nombre entier positif ou négatif.

Dans notre pseudo-langage, nous écrirons la déclaration des variables de type entier :

ENTIER variable, variable, … ;

Généralement un entier occupe 2 octets, ce qui limite les valeurs de -32768 à +32768.

Cependant cela dépend des machines, des compilateurs, et des langages.

Certains langages distinguent les entiers courts (1 octet), les entiers longs (4 octets) et les entiers simples (2 octets).

réel : il s’agit des variables numériques qui ne sont pas des entiers, c’est à dire qui comportent des décimales. Généralement un nombre réel est codé sur 4 octets (voir cours sur le codage des informations).

Dans notre pseudo-langage, la déclaration des variables de type réel est la suivante :

REEL variable, variable, … ;

caractère : Les variables de type caractère contiennent des caractères alphabétiques ou numériques (de 0 à 9), mais dans ce cas ils ne sont pas considérés comme étant des nombres et on ne peut pas faire d’opérations dessus.

Un caractère occupe un octet.

Dans notre pseudo-langage, une variable de type caractère se déclare ainsi :

CAR variable , variable , …;

Remarque : les chaînes de caractères, dans notre langage sont des tableaux de caractères (voir 1.6.2)

booléen : Il est souvent nécessaire lorsque l’on écrit un programme d’introduire des variables qui prennent les valeurs vrai ou faux ou les valeurs oui ou non.

Pour cela, il existe un type particulier dont les variables ne peuvent prendre que 2 valeurs : vrai ou faux.. Dans notre pseudo-langage, la déclaration s’écrit :

BOOLEEN variable, variable, ;

les tableaux

On peut regrouper plusieurs variables sous un même nom, chacune étant alors repérée par un numéro. C’est ce que l’on appelle un tableau. On peut faire un tableau avec des variables de n’importe quel type.

Dans tous les cas le ième élément d’un tableau appelé tab sera adressé par tab(i).

Généralement on fait des tableaux à une dimension, mais il existe également des tableaux à deux dimensions, dans ce cas tab(i,j) représente la jème colonne et la ième ligne.

TABLEAU type variable [ longueur ] ;

exemple :

TABLEAU CAR mot[10];

TABLEAU ENTIER liste_nb[25];

TABLEAU CAR MOTS[10][20];

Le premier exemple montre la déclaration d’un tableau de 10 postes de type caractère dont les postes seront nommées mot (i) i allant de 1 à 10.

  1. Dans certains langages i ira de 0 à 9

Les fonctions et procédures

Lorsque l’algorithme devient trop compliqué, nous avons envie de le découper, de manière à ce que chaque partie soit plus simple et donc plus lisible.

De même, lorsqu’une partie de code doit être exécutée plusieurs fois à des endroits différents ou réutilisée ultérieurement on pourra ne l’écrire qu’une fois et lui donner un nom en en faisant une fonction ou une procédure.

Procédure

Une procédure est une suite d’instructions servant à réaliser une tâche précise en fonction d’un certain nombre de paramètres.

Ce lot d’instructions est écrit une fois dans la procédure mais peut être exécutée autant de fois que voulu en appelant la procédure : on aura donc une ligne de code pour exécuter n instructions.
De plus une procédure peut fonctionner avec des paramètres qui sont indiqués au moment de l’appel et pris en compte dans l’exécution de la procédure.

Les paramètres sont de deux types.

Les paramètres de type VAL : ils contiennent une valeur qui sera utilisée dans la procédure.

Les paramètres de type VAR : ils représentent une variable du programme appelant qui pourra être lue et modifiée si nécessaire.

Dans notre pseudo-langage, une procédure se déclare de la manière suivante :

PROCEDURE nom procédure ( Param1, Param2,…… Paramn )

déclarations de variables locales

DEBUT

actions

FIN

Les variables que nous déclarons à l’intérieur de procédure ne sont connues que dans cette procédure. Elles sont d’ailleurs nommées variables locales.

Pour utiliser cette procédure dans un programme appelant, on écrit :

nom procédure ( P1, P2, …,Pn.) ;

PROCEDURE remplir_chaine (CAR caractere,, ENTIER longueur,

TABLEAU CAR chaine [ MAXCAR] )

ENTIER n1, nLong;

DEBUT

SI longueur > MAXCAR

ALORS nLong MAXCAR

SINON nLong longueur

FINSI

POUR n1 ALLANT DE 1 A nLongueur

chaine( n1) caractere;

FinPour

FIN

Cette procédure attend en entrée, trois paramètres pour fonctionner. Le premier sera de type caractère, le second de type numérique entier et le troisième de type tableau de caractères

Nous appellerons cette fonction comme ceci :

remplir_chaine(« * »,12, ligne);

remplir_chaine(longmot, rep, message);

Dans le premier cas, nous envoyons en paramètres deux constantes et une variable : la première constante(« * »)de type caractère qui sera reçue dans caractère, la seconde (12) qui sera reçue dans longueur et la variable (ligne) qui sera reçue dans chaîne.

Dans le deuxième appel tous les paramètres sont transmis sous forme de variables.

Appel par remplir_chaine(« * »,12, ligne);


PROCEDURE remplir_chaine (CAR caractere, ENTIER longueur,TABLEAU CAR chaine [ MAXCAR] )

Appel par remplir_chaine(rep, longmot, message);

Les paramètres doivent être transmis dans l’ordre et doivent respecter le type défini dans la procédure.

Fonction

Une fonction est une procédure dont le but est de déterminer une valeur et de la retourner au programme appelant.

Dans notre pseudo-langage, elle se déclare de la manière suivante :

type FONCTION nom de la fonction ( VALtype nom VARtype nom, type nom, … )

déclarations de variables locales

DEBUT

actions

RETOURNE valeur

FIN

Les mêmes remarques que pour la procédure s’appliquent.

De plus, il faut noter que la fonction retourne une valeur (ou le contenu d’une variable) et que donc à la déclaration on doit indiquer son type, c’est à dire le type de cette valeur.

L’appel d’une fonction s’écrit :

variable nom de la fonction ( valeur1 , valeur2 , .. ) ;

Une fonction ne peut donc pas retourner un tableau.

exemples :

ENTIER FONCTION valeur_absolue (VAL ENTIER nombre)

DEBUT

SI (nombre < 0)

ALORS

RETOURNE (nombre * (-1))

SINON

RETOURNE nombre

FINSI

FIN

Nous l’utiliserons ainsi :

n1 – valeur_absolue( n1 );

nLimite valeur_absolue(-120);

Règles de programmation

Un programme doit être le plus lisible possible, de manière à ce que n’importe qui d’autre que l’auteur soit capable de comprendre ce qu’il fait rien qu’en le lisant. Pour cela il faut suivre les quelques règles suivantes :

le nom des variables doit être significatif, c’est à dire indiquer clairement à quoi elles servent

un algorithme ne doit pas être trop long (une page écran). S’il est trop long, il faut le découper en fonctions et procédures (voir 1.7)

les structures de contrôle doivent être indentées, c’est à dire, par exemple, que les instructions qui suivent le alors doivent toutes être alignées et décalées d’une tabulation par rapport au si. Il en est de même pour les répétitives.

A chaque imbrication d’une structure de contrôle, on décale d’une tabulation.

exemples :

mal écrit :

mieux écrit :

ENTIER a,b,c,i,j,k

ENTIER i,j;

TABLEAU CAR tab(10)(20)

ENTIER nbmots, nbavecx;

 

BOOLEEN trouve;

i 1; a -0; b0;

TABLEAU CAR mots (10) (20)

FAIRE

 

SI (tab(i,1) <> ‘ ‘)

i -1; nbmots 0; nbavecx 0;

ALORS

FAIRE

c 0 ; a a+1;

SI (mots(i,1) <> ‘ ‘)

j 1

ALORS

TANTQUE ((j <20) ET (c <> 0)) FAIRE

trouve FAUX;

SI tab(i,j) = ‘X’ ALORS c 0 FINSI

nbmots nbmots + 1;

j j+1;

j 1;

FINTQ FINSI

TANTQUE ((j < 20) ET (NON trouve))

SI (c = 0) ALORS b b+1 FINSI

i i+1;

SI (mots(i,j) = ‘X’)

JUSQUA (i > 10);

ALORS

 

trouve VRAI

 

FINSI

 

FINTQ

 

SI trouve ALORS nbavecx nbavecx +1; FINSI

 

FINSI

 

i i+1;

 

JUSQUA (i > 10)

En ce qui concerne les fonctions et procédures, il y a aussi des règles à respecter :

On doit toujours être capable de donner un nom significatif à une procédure ou à une fonction.

Le nombre de paramètres ne doit pas être trop grand ( en général inférieur à 5) car cela nuit à la lisibilité du programme.

Une procédure ou une fonction doit être la plus générale possible de manière à pouvoir être réutilisée dans d’autres circonstances.

Si le but d’une procédure est de calculer une valeur simple, il est préférable d’en faire une fonction.

Il est souvent plus clair d’écrire une fonction booléenne plutôt qu’une condition complexe.

La syntaxe du pseudo-langage

Un programme comportera

Une partie déclaration

Une partie encadrée par début fin où sont décrites les actions

programme :

déclarations;

DEBUT

Actions

FIN

Dans la partie déclarations, nous trouvons :

déclaration de variables

déclaration de fonction

déclaration de procédure

Déclaration de variables :

type nom

ou

TABLEAU type nom ( entier ) [ ( entier ) ] ;

Où type peut être: ENTIER ou REEL ou CAR ou BOOLEEN

Déclaration de fonction :

type FONCTION ( VAL type nom, type nom, …VAR type nom, type nom, …)

déclaration de variables

DEBUT

Actions

RETOURNE valeur

FIN

Déclaration de procédure:

PROCEDURE nom ( VAL type nom, type nom, …VAR type nom, type nom, …)

déclaration de variables

DEBUT

Actions

FIN

Dans la partie actions, nous trouvons :

suite d’instructions

alternative

répétitive

Suite d’instructions :

instruction;

instruction; …

Alternative :

SI condition ALORS

Actions si vrai

[ SINON

actions si faux]

FINSI

Répétitive :

Tantque

Faire

Pour

TantQue condition

actions si vrai

FINTQ

Faire

Actions

Jusqua condition

POUR variable ALLANT DE entier A entier [PAS entier]

Actions

FinPour

Pour exprimer une condition :

Opérateurs logiques ET, OU, NON, XOR

Opérateurs de comparaison =, <, >, <=, >=, <>

Les instructions

variable valeur

LIRE variable

AFFICHER [texte valeur ]

Appel de fonction : variable nomFonction ( param1, param2, …) ;

Appel de procédure nomProcédure ( param1, param2, …) ;

Pour exprimer une valeur, nous pouvons utiliser :

Un nom de variable

Une constante

Comment analyser un problème ?

Vous vous rendrez vite compte que chaque personne a un mode de

raisonnement qui lui est propre

Dans les quelques pages qui suivent, nous vous indiquerons quelques raisonnements tenus pour arriver à un pseudo code répondant à une question donnée mais il s’agit de notre façon de raisonner : à vous de vous construire la votre.

Première étape : bien comprendre la question.

Bien souvent c’est une analyse de texte qu’il faut faire sauf si la question est très simple.

Dans les entraînements qui vous sont proposés ensuite, nous avons expliqué en quelques phrases le besoin et nous l’avons fait suivre par un exemple :

qu’avons-nous au départ ?

à quel résultat devons-nous arriver?

Cela est un début de démarche

Imaginez plusieurs points de départ possibles.

Pour chacun d’eux, quel est le résultat que vous devez obtenir ?

Dans les points d’entrée possible, essayez de penser aux cas extrêmes.

Pour illustrer notre discours, nous allons utiliser le problème suivant :

Cet algorithme permet de ranger un élément à sa place dans une liste de manière très rapide.

Nous possèdons une liste de N entiers triés, nous oulons placer un nombre X au bon endroit parmi ceux déjà triés.

Comment ? On compare X à l’élément du milieu de tableau, s’il est inférieur on réduit le tableau à sa partie gauche, s’il est supérieur on réduit le tableau à sa partie droite.

On réitère l’opération jusqu’à ce que le tableau ait moins de 3 éléments.

Quels sont les différents types de cas à traiter ?

Premier cas

Les éléments de départ sont :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

Nous voulons insérer le nombre 7 au milieu

Le résultat devrait être :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

7

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

       

Deuxième cas

Les éléments de départ sont :

                                                           

Nous voulons insérer le nombre 7 dans une liste ne comportant aucun élément

Le résultat devrait être :

 

7

                                                       

Troisième cas

Les éléments de départ sont :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

Nous voulons insérer le nombre 1en première case

Le résultat devrait être :

 

1

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

       

Quatrième cas

Les éléments de départ sont :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

Nous voulons insérer le nombre 60 qui sera en fin de liste

Le résultat devrait être :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

 

60

       

Deuxième étape : comment passer des éléments de départ au résultat

Se consacrer d’abord au premier cas qui représente fréquemment le cas le plus courant.

Puis, voir si le deuxième cas fonctionne correctement avec notre démarche du premier cas.

Si ce n’est pas le cas, modifier la démarche pour que le deuxième cas fonctionne correctement.

Dès que c’est fait, reprendre la démarche avec le premier cas qui lui ne fonctionne peut-être plus.

Puis, voir si le troisième cas fonctionne correctement avec notre démarche.

Sinon, adapter la démarche et re vérifier le cas 1 et le cas 2 et ainsi de suite……..

Comment faire avec le premier cas ?

Les éléments de départ sont :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

Nous voulons insérer le nombre 7 bien placé dans la liste

Nous devons connaître le milieu du tableau : pour cela:

Il faut déterminer le nombre d’éléments contenus au départ soit 12 éléments

Puis le diviser par 2 pour avoir la position de l’élément du milieu soit 6

6ème élément est 8 7 est plus petit que 8 donc nous insèrerons 7 dans

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

Nous re divisons le nombre d’éléments 6 par 2 soit 3

.le 3ème élément est 3 ==> on insère 7 dans

 

3

 

5

 

6

 

8

Nous re divisons le nombre d’éléments soit 4 par 2

le 2ème élément est 5 ==> on insère 7 dans

5

 

6

 

8

Nous re divisons le nombre d’éléments soit 3 par 2 soit 1,5 que nous arrondissons à 2

.le 2ème élément est 6 inférieur à 7 ==> on insère 7 entre 6 8

 

6

 

7

 

8

Résumons notre démarche :

Soit un nombre à insérer nAInserer

Soit 1 le départ de notre recherche nDebut

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

nbElement prend la valeur de nFin

Nous cherchons le nombre d’éléments à consulter nbElement

Nous divisons ce nombre par 2 nPosition

Si le résultat n’est pas entier, nous arrondissons à l’entier supérieur nPosition

Nous comparons le nPositioniéme numéro de la liste avec notre nombre à Insérer

Si ce nombre est inférieur au nombre à insérer,

nous prenons la partie droite du tableau depuis l’élément en nPosition jusqu’à la fin; cela revient à dire que nous changeons la position de début du tableau nDebut prend la valeur de nPosition.

autrement nous prenons la partie gauche depuis le 1er élément jusqu’à l’élément en nPositio; cela revient à dire que nous changeons la position de fin du tableau nFin prend la valeur de nPosition

Nous cherchons le nombre d’éléments restant à consulter nbElement

nbElement prend la valeur de nFin – nDebut + 1

Nous divisons ce nombre par 2 nPosition

Si le résultat n’est pas entier, nous arrondissons à l’entier supérieur nPosition

Voyez que nous sommes en train de recommencer la démarche telle qu’elle a été décrite un peu au dessus. Nous sommes donc en train de répéter une même séquence de ligne ce qui veut dire que nous sommes en présence d’une répétitive.

Notre démarche devient donc

Soit un nombre à insérer nAInserer

Soit 1 le départ de notre recherche nDebut

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

Nous cherchons le nombre d’éléments à consulter nbElement

la première fois nbElement prend la valeur de nFin

Nous répétons

Nous divisons ce nombre par 2 nPosition

Si le résultat n’est pas entier, nous arrondissons à l’entier supérieur nPosition

Nous comparons le nPositioniéme numéro de la liste avec notre nombre à Insérer

Si ce nombre est inférieur au nombre à insérer,

nous prenons la partie droite du tableau depuis l’élément en nPosition jusqu’à la fin; cela revient à dire que nous changeons la position de début du tableau nDebut prend la valeur de nPosition.

autrement nous prenons la partie gauche depuis le 1er élément jusqu’à l’élément en nPosition; cela revient à dire que nous changeons la position de fin du tableau nFin prend la valeur de nPosition

Nous cherchons le nombre d’éléments restant à consulter nbElement

les autres fois nbElement prend la valeur de nFin – nDebut + 1

Fin de la séquence répétée

A ce point de raisonnement, il faut se poser la question  » répéter combien de fois? » Qu’est ce qui fait que la répétition doit cesser? C’est une question qui demande un solide bons sens; si nous n’y répondons pas bien nous avons deux écueils possibles

Nous ne rentrons jamais dans la séquence d’instructions

Nous n’en sortons jamais : c’est ce que nous appelons « boucler »; c’est le mouvement perpétuel.

Dans notre exemple, nous avons terminé la répétition quand notre nombre d’éléments à consulter est arrivé à 2

Notre démarche devient donc

Soit un nombre à insérer nAInserer

Soit 1 le départ de notre recherche nDebut

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

Nous cherchons le nombre d’éléments à consulter nbElement

la première fois nbElement prend la valeur de nFin

Nous répétons TANTQUE nombre d’éléments > 2

Nous divisons ce nombre par 2 nPosition

Si le résultat n’est pas entier, nous arrondissons à l’entier supérieur nPosition

Nous comparons le nPositioniéme numéro de la liste avec notre nombre à Insérer

Si ce nombre est inférieur au nombre à insérer,

nous prenons la partie droite du tableau depuis l’élément en nPosition jusqu’à la fin; cela revient à dire que nous changeons la position de début du tableau nDebut prend la valeur de nPosition.

autrement nous prenons la partie gauche depuis le 1er élément jusqu’à l’élément en nPosition; cela revient à dire que nous changeons la position de fin du tableau nFin prend la valeur de nPosition

FINSI

Nous cherchons le nombre d’éléments restant à consulter nbElement

les autres fois nbElement prend la valeur de nFin – nDebut + 1

Fin de la séquence répétée FINTQ

Nous sommes maintenant avec deux éléments à consulter.

Toujours en se basant sur le bon sens, nous savons que le deuxième élément est nécessairement plus grand ou égal que le nombre à insérer car quand nous coupions notre tableau en deux c’était par un « inférieur ». Il suffit donc de comparer notre nombre à insérer au premier élément.

SI l’élément en position nDebut est inférieur à notre nombre à insérer

La position dans laquelle nous allons insérons notre nombre à insérer est nDebut + 1

Autrement c’est nDebut

FINSI

A ce point du raisonnement, nous savons qu’il faut insérer 7 en 6ème position

Soit nPosition = 6.

7

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

   

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

Si nous envoyons notre nombre à insérer en 6ème position, nous allons « écraser » la valeur qui

y était soit 8 : Notre résultat serait alors

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

7

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

C’est différent du résultat prévu :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

7

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

       

Ce qu’il faut faire c’est décaler 8 vers la droite c’est à dire à la place de 12 pour mettre 7 à la

place

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

7

 

8

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

Si nous procédons ainsi nous perdons toujours un des éléments initiaux.

Comment faire pour ne rien perdre ? il faut commencer par la fin.

2

 

3

 

3

 

5

 

6

   

8

7

 

12

6

 

25

5

 

26

4

 

42

3

 

53

2

 

55

           

8

1

7

2

 

3

 

3

 

5

 

6

   

7

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

55

 

55

       

Traduite en français, notre démarche serait :

Soit le nombre d’éléments de la liste d’origine nFin

Décaler toutes les valeurs de la position nFin à la position nPosition vers la droite.

Qui se traduit aussi par

POUR n ALLANT de nFIN à nPosition en faisant –1 à chaque tour

Prendre la valeur en position n et la mettre dans la valeur en position n+1

FINPOUR

Mettre la nombre à insérer dans la valeur qui est en position nPosition

En résumé, notre démarche est devenue :

Soit un nombre à insérer nAInserer

Soit 1 le départ de notre recherche nDebut

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

Nous cherchons le nombre d’éléments à consulter nbElement

la première fois nbElement prend la valeur de nFin

Nous répétons TANTQUE nombre d’éléments > 2

Nous divisons ce nombre par 2 nPosition

Si le résultat n’est pas entier, nous arrondissons à l’entier supérieur nPosition

Nous comparons le nPositioniéme numéro de la liste avec notre nombre à Insérer

Si ce nombre est inférieur au nombre à insérer,

nous prenons la partie droite du tableau depuis l’élément en nPosition jusqu’à la fin; cela revient à dire que nous changeons la position de début du tableau nDebut prend la valeur de nPosition.

autrement nous prenons la partie gauche depuis le 1er élément jusqu’à l’élément en nPosition; cela revient à dire que nous changeons la position de fin du tableau nFin prend la valeur de nPosition

FINSI

Nous cherchons le nombre d’éléments restant à consulter nbElement

les autres fois nbElement prend la valeur de nFin – nDebut + 1

Fin de la séquence répétée FINTQ

SI l’élément en position nDebut est inférieur à notre nombre à insérer

La position dans laquelle nous allons insérons notre nombre à insérer est nDebut + 1

Autrement c’est nDebut

FINSI

POUR n ALLANT de nFIN à nPosition en faisant –1 à chaque tour

Prendre la valeur en position n et la mettre dans la valeur en position n+1

FINPOUR

Mettre la nombre à insérer dans la valeur qui est en position nPosition

Examinons maintenant le deuxième cas

Les éléments de départ sont :

                                                           

Nous voulons insérer le nombre 7 dans une liste ne comportant aucun élément

Le résultat devrait être :

 

7

                                                       

Par rapport au cas précédant, nous nous apercevons que la recherche de la position d’insertion

est inutile car il n’y a pas de liste d’éléments au départ.

De même, il ne sera pas nécessaire de faire des décalages puisqu’il n’y a rien à décaler.

Pour ce cas, la procédure sera :

Soit un nombre à insérer nAInserer

Soit 1 le départ de notre recherche nDebut

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

Nous cherchons le nombre d’éléments à consulter nbElement

La position d’insertion est 1 nPosition

Mettre la nombre à insérer dans la valeur qui est en position nPosition

Nous adaptons notre démarche du premier cas

Soit un nombre à insérer nAInserer

Soit 1 le départ de notre recherche nDebut

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

Nous cherchons le nombre d’éléments à consulter nbElement

la première fois nbElement prend la valeur de nFin

La position d’insertion est 1 nPosition

Si nFin n’est pas zéro

Nous répétons TANTQUE nombre d’éléments > 2

Nous divisons ce nombre par 2 nPosition

Si le résultat n’est pas entier, nous arrondissons à l’entier supérieur nPosition

Nous comparons le nPositioniéme numéro de la liste avec notre nombre à Insérer

Si ce nombre est inférieur au nombre à insérer,

nous prenons la partie droite du tableau depuis l’élément en nPosition jusqu’à la fin; cela revient à dire que nous changeons la position de début du tableau nDebut prend la valeur de nPosition.

autrement nous prenons la partie gauche depuis le 1er élément jusqu’à l’élément en nPosition; cela revient à dire que nous changeons la position de fin du tableau nFin prend la valeur de nPosition

FINSI

Nous cherchons le nombre d’éléments restant à consulter nbElement

les autres fois nbElement prend la valeur de nFin – nDebut + 1

Fin de la séquence répétée FINTQ

SI l’élément en position nDebut est inférieur à notre nombre à insérer

La position d’insertion est nDebut + 1

Autrement c’est nDebut

FINSI

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

POUR n ALLANT de nFIN à nPosition en faisant –1 à chaque tour

Prendre la valeur en position n et la mettre dans la valeur en position n+1

FINPOUR

FINSI

Mettre la nombre à insérer dans la valeur qui est en position nPosition

Examinons le troisième cas

Les éléments de départ sont :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

Nous voulons insérer le nombre 1en première case

Le résultat devrait être :

 

1

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

       

La démarche écrite pour les deux premiers cas fonctionne

Examinons le quatrième cas

Les éléments de départ sont :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

           

Nous voulons insérer le nombre 60 qui sera en fin de liste

Le résultat devrait être :

 

2

 

3

 

3

 

5

 

6

 

8

 

12

 

25

 

26

 

42

 

53

 

55

 

60

       

Lorsque nous déroulons la démarche précédemment écrite, nous arrivons à une anomalie.

Au premier TANTQUE, les valeurs des variables sont :

Variable

NDébut

NFin

NPosition

nbElement

Valeur

1

12

1

12

A la fin de ce premier TANTQUE , elles valent :

Variable

NDébut

NFin

NPosition

nbElement

Valeur

6

12

1

7

Démarrons le premier TANTQUE, nPosition devient 7 / 4 = 3,5 ramené à l’entier supérieur soit 4.

Problème, car 4 n’est pas compris entre 6 et 12. il Nous faut changer le calcul de nPosition par

Ce calcul devient :

Nous divisons ce nombre par 2 nPosition

Si le résultat n’est pas entier, nous arrondissons à l’entier supérieur nPosition

Ajouter nDebut à nPosition

Si nous reprenons les cas précédant, cette nouvelle démarche fonctionne toujours.

La démarche finale est :

Soit un nombre à insérer nAInserer

Soit 1 le départ de notre recherche nDebut

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

Nous cherchons le nombre d’éléments à consulter nbElement

La position d’insertion est 1 nPosition

Si nFin n’est pas zéro

Nous répétons TANTQUE nombre d’éléments > 2

Nous divisons ce nombre par 2 nPosition

Si le résultat n’est pas entier, nous arrondissons à l’entier supérieur nPosition

Ajouter nDebut – 1 à nPosition

Nous comparons le nPositioniéme numéro de la liste avec notre nombre à Insérer

Si ce nombre est inférieur au nombre à insérer,

nous prenons la partie droite du tableau depuis l’élément en nPosition jusqu’à la fin; cela revient à dire que nous changeons la position de début du tableau nDebut prend la valeur de nPosition.

autrement nous prenons la partie gauche depuis le 1er élément jusqu’à l’élément en nPosition; cela revient à dire que nous changeons la position de fin du tableau nFin prend la valeur de nPosition

FINSI

Nous cherchons le nombre d’éléments restant à consulter nbElement

les autres fois nbElement prend la valeur de nFin – nDebut + 1

Fin de la séquence répétée FINTQ

SI l’élément en position nDebut est inférieur à notre nombre à insérer

La position d’insertion est nDebut + 1

Autrement c’est nDebut

FINSI

Soit le nombre d’élements à consuler nFin

POUR n ALLANT de nFIN à nPosition en faisant –1 à chaque tour

Prendre la valeur en position n et la mettre dans la valeur en position n+1

FINPOUR

FINSI

Mettre la nombre à insérer dans la valeur qui est en position nPosition

Un peu d’entraînement

Pour chacun des entraînements proposés, vous avez :

Le sujet sur la première page

Un corrigé possible sur la page suivante

Eventuellement des explications complémentaires

Faites-les en ne regardant pas le corrigé avant; cela peut paraître une évidence mais la tentation sera grande Résistez !!!!

L’alternative

Un patron décide de calculer le montant de sa participation au prix du repas de ses employés de la façon suivante :

S’il est célibataire participation de 20%

S’il est marié participation de 25%

S’il a des enfants participation de 10% supplémentaires par enfant

La participation est plafonnée à 50%

Si le salaire mensuel est inférieur à 6000f la participation est majorée de 10%

Écrire le programme qui lit les informations au clavier et affiche pour un salarié, la participation à laquelle il a droit.

Deuxième partie de l’exercice :

Corriger l’exercice précédent pour ne pas être obligé de relancer le programme pour chaque employé.

Corrigé

Car strRepMarie;

Entier nEnfants,

REEL nSalaire

REEL nParticipation,

Ag00013_ AFFICHER « L’employé est-il marié (O/N) ? »

LIRE strRepMarie

AFFICHER « Combien a-t-il d’enfants ? »

LIRE nEnfants

AFFICHER « Quel est son nSalaire ? »

LIRE nSalaire

SI (strRepMarie = ‘N’) ALORS

nParticipation 0.2

SINON

nParticipation 0.25

FINSI

nParticipation nParticipation + nEnfants*0.1

SI (nSalaire <= 6000) ALORS

nParticipation nParticipation + 0.1

FINSI

SI (nParticipation > 0.5) ALORS

nParticipation 0.5

FINSI

Pour la deuxième partie de l’exercice, il faut rajouter une boucle :

Car strReponse

Booleen bSuite

bSuite = vrai

TANTQUE bSuite

voir ci-dessus

AFFICHER « Y a-t-il un autre employé (O/N) ? »

LIRE strReponse

Si strReponse = « N »

BSuite = faux

FINTQ

La boucle

Autre sujet : Écrire un programme qui saisit des entiers et en affiche la somme et la moyenne (on arrête la saisie avec la valeur 0)

Corrigé

A vos neurones

REEL nSomme

REEL nMoyenne

REEL nNombreFrappes

REEL nSaisie

Ag00013_ nSomme 0

nNombreFrappes 0

nSaisie = 99999 // tout sauf zéro

TANTQUE nSaisie <> 0

AFFICHER « entrer un entier »

LIRE nSaisie

SI (nSaisie <> 0)

ALORS

nNombreFrappes nNombreFrappes + 1;

nSomme nSomme + nSaisie;

SINON

nMoyenne (nSomme / nNombreFrappes)

AFFICHER « La somme =  » somme  » La moyenne =  » moyenne

FINSI

FINTQ

Les statistiques

On saisit des entiers (comme exercice précédent) et on les range dans un tableau (maximum 50)

Écrire un programme qui affiche le maximum, le minimum et la valeur moyenne de ces nombres.

Corrigé

A vos neurones

Ag00013_ ENTIER nMini, nMaxi,,nSomme

REEL nMoyenne

Entier nIndice, nbNombre, nSaisie

TABLEAU ENTIER nTab[50]

AFFICHER « entrer un entier »

LIRE nSaisie

nbNombres 0

TANTQUE (nSaisie <> 0 ET nbNombre < 50

SI (nombre <> 0)

nb_nombres nb_nombres + 1

TAB(nb_nombres) nombre

FINSI

AFFICHER « entrer un entier »

LIRE nSaisie

FINTQ

nSomme 0

nMini TAB(1)

nMaxi TAB(1)

POUR nIndice ALLANT DE 1 A nbNombres

somme somme +TAB(nIndice)

SI (TAB(i) < nMini ALORS min TAB(nIndice)

SI (TAB(i) > nMaxi) ALORS max -TAB(nIndice)

FinPour

nMoyenne –(nSomme / nbNombres)

AFFICHER « La somme =  » nSomme  » La moyenne =  » nMoyenne

AFFICHER « Le minimum =  » nMini  » Le maximum =  » nMaxi

Contraction

Recopier une phrase dans une autre en ôtant toutes les occurrences d’un caractère

Soit une phrase terminée par un point.

Il s’agit de la restituer en supprimant les occurrences d’un caractère donné.

Exemple :

phrase : abbcccdeeeffg

caractère : c

résultat : abbdeeeffg

Donnez le jeu d’essai qui permet de tester cette procédure.

Donnez l’algorithme de la procédure en pseudo code.

Corrigé

A vos neurones

  1. Ag00013_ TABLEAU CAR strPhrase1[100], strResultat[100]
  2. ENTIER nIndice 1, nIndice2
  3. CAR strOctet
  4. String strSaisie
  5. AFFICHER « entrer la phrase terminée par un point »
  6. LIRE strSaisie
  7. strPhrase1 strSaisie;
  8. AFFICHER « entrer le caractère à ôter » »
  9. LIRE strSaisie
  10. StrOctet strSaisie
  11. //
  12. nIndice1 1;
  13. nIndice2 1;
  14. TANTQUE strPhrase1(nIndice1) <> « . »
  15. SI strPhrase1(nIndice1) <> strOctet ALORS
  16. strResultat(nIndice2) = strPhrase1(nIndice1)
  17. nIndice2 nIndice2 +1
  18. FINSI;
  19. nIndice1 nIndice1 +1
  20. FINTQ
  21. AFFICHER « le résultat est : « , strResultat

Doublons

Recopier une phrase dans une autre en ôtant tous les doublons de caractères successifs

Soit une phrase terminée par un point.

Il s’agit de la restituer en supprimant tous les doublons de caractères successifs.

Exemple : abbcccdeeeffg. donne abcdefg.

Donnez le jeu d’essai qui permet de tester cette procédure.

Pour tester le programme, c’est à dire voir s’il répond bien à nos attentes, s’il n’a pas de « bug », avant de la faire « tourner » sur la machine nous imaginons un jeu d’essai avec tous les cas à tester et le résultat attendu pour chaque cas : c’est le jeu d’essai.

 

Donnez l’algorithme de la procédure.

Corrigé

A vos neurones

Ag00013_ TABLEAU CAR strPhrase1[100], strResultat[100]

ENTIER nIndice 1, nIndice2

CAR strOctet

STRING strSaisie

AFFICHER « entrer la phrase terminée par un point »

LIRE strSaisie

strPhrase1 strSaisie;

//

nIndice1 1

nIndice2 1

strOctet  » « 

TANTQUE strPhrase1(nIndice1) <> « . »

SI strPhrase1(nIndice1) <> strOctet ALORS

strResultat(nIndice2) = strPhrase1(nIndice1)

nIndice2 nIndice2 +1

strOctet strPhrase1(nIndice1)

FINSI

nIndice1 nIndice1 +1

FINTQ

AFFICHER « le résultat est : « , strResultat

Jeu d’essai:

bbbbiidooooonn. donne bidon

aaaaaaaaaaaaa. donne a

meilleur donne meilleur

Les deux derniers cas sont des cas extrêmes mais dans un jeu d’essai sérieux, ce sont des cas à ne pas oublier

Si nous voulions être très rigoureux, nous devrions tester que la phrase saisie se termine bien par un point. Si ce n’est pas le cas, le TANTQUE va provoquer une boucle dont nous ne sortirons jamais. Nous pourrions appeler çà le mouvement perpétuel.

Equivalence

Déterminer si deux phrases sont équivalentes.

Soit deux phrases terminées par un même terminateur.

Elles sont dites équivalentes si elles ont les mêmes lettres dans le même ordre mais avec un nombre d’occurrences de ces lettres qui peut différer entre les deux phrases.

On supposera qu’il existe une fonction longueur lg de chaîne qui renvoie un entier

Exemple :

abbcccdeeeffg

aabcdeffffg sont équivalentes

Donnez le jeu d’essai qui permet de tester cette procédure.

Donnez l’algorithme de la procédure toujours en pseudo code.

Corrigé

A vos neurones

  1. Ag00013_ TABLEAU CAR strPhrase1[100], strPhrase2[100]
  2. ENTIER nIndice 1, nIndice2
  3. CAR strOctet
  4. BOOLEEN bOK
  5. STRING strSaisie
  6. AFFICHER « entrer la première phrase »
  7. LIRE strSaisie
  8. strPhrase1 strSaisie;
  9. AFFICHER « entrer la deuxième phrase »
  10. LIRE strSaisie
  11. StrPhrase2 strSaisie;
  12. //
  13. bOk = vrai
  14. nIndice1 1;
  15. nIndice2 1;
  16. TANTQUE bOk = vrai ET nIndice1 <strPhrase1.lg ET nIndice2 <strPhrase2.lg
  17. strOctet strPhrase1(nIndice1)
  18. SI strPhrase2(nIndice2) = strOctet ALORS
  19. TANTQUE strPhrase2(nIndice2) = strOctet ET nIndice2 strPhrase2.lg
  20. nIndice2 nIndice2 +1;
  21. FINTQ
  22. SINON
  23. bOk = faux
  24. FINSI;
  25. TANTQUE strPhrase1(nIndice1) = strOctet ET nIndice1 <strPhrase1.lg
  26. nIndice1 nIndice1 +1;
  27. FINTQ;
  28. FINTQ
  29. SI bOK = vrai
  30. AFFICHER « Les phrases sont équivalentes »;
  31. SINON
  32. AFFICHER « Les phrases sont différentes »;

Faisons tourner le programme à la main, ligne par ligne avec les phrases :

Phrase1 aabbbccddde Phrase2 : abccdeee

Dans le tableau qui suit, nous notons tous les changements de valeurs subies au fur et à mesure de l’exécution du programme. La première colonne indique la ligne du programme où les valeurs sont notées (les valeurs sont changées une fois la ligne d’affectation passée).

N° ligne

nIndice1

nIndice2

StrPhrase1()

StrPhrase2()

StrOctet

bOk

14

         

vrai

15

1

         

16

 

1

       

18

       

a

 

21

 

2

       

27

2

         

27

3

         

18

       

b

 

21

 

3

       

26

4

         

26

5

         

26

6

         

21

 

4

   

c

 

21

 

5

       

27

7

         

27

8

         

18

       

d

 

21

 

6

       

27

9

         

27

10

         

27

11

         

18

       

e

 

21

 

7

       

21

 

8

       

21

 

9

       

27

12

         
             
             
             

Il est assez fastidieux de « dérouler » le programme de cette manière; Des outils appelés « déboggeur » vous permettent de laisser le travail à la machine. Ils permettent de :

Faire avancer le programme « pas à pas » c’est à dire ligne par ligne

Lister le contenu des variables à un point d’arrêt c’est à dire à une ligne précise (nous vous rappelons que les valeurs ne sont modifiées qu’une fois l’affectation finie; il faut donc se positionner sur la ligne après l’affectation pour voir la valeur prise par la variable.

Faire avancer le programme de point d’arrêt en point d’arrêt

Eventuellement de modifier les valeurs des variables : attention si vous travaillez dans un contexte aussi utilisé par les utilisateurs, vous risquez de faire des bêtises en modifiant la base de données réelle.

Cas n° 1

Phrase n° 1 ccccccdddddaaaagggg

Phrase n° 2 cccdddggggaa Résultat phrases différentes


Cas n° 2

Phrase n° 1 aaazzzeeerrty

Phrase n° 2 azerty Résultat phrases équivalentes


Cas n° 3

Phrase n° 1 Immobile

Phrase n° 2 imobile Résultat phrases différentes ou équivalentes

En effet, une lettre majuscule est différente d’une lettre minuscule sur un système « casse sensitive ». Elles sont équivalence sur les autres systèmes.

Eparpillement

Chercher les lettres d’un mot éparpillées dans une phrase, dans le même ordre.

Soient un caractère terminateur et une phrase terminée par ce caractère terminateur.

Soient un mot donné

Il s’agit de vérifier si les lettres du mot sont bien présentes dans la phrase, ce dans le même ordre que celui du mot.

Exemple :

terminateur : .

phrase : le chat est gris et boit.

mot : lattis

longueur : 6

donne vrai

Donnez l’algorithme de la procédure en pseudo code.

Corrigé

A vos neurones

Ag00013_ CAR strSaisie

ENTIER nIndice 1,nIndice2,nLong1,nLong2

TABLEAU CAR strPhrase1[100], strPhrase2[100]

AFFICHER « entrer la phrase terminée par un point »

LIRE strSaisie

nLong1 longueur(strSaisie) – 1

strPhrase1 strSaisie

AFFICHER « entrer le mot recherché »

LIRE strSaisie

NLong2 longueur(strSaisie)

strPhrase2 strSaisie

AFFICHER « entrer le longueur du mot recherché »

LIRE strSaisie

nIndice1 1

nIndice2 1

TANTQUE nIndice2 < nLong2 ET nIndice1 < nLong1

SI strPhrase1(nIndice1) = strPhrase2[nIndice2]

nIndice2 nIndice2 +1

FINSI

nIndice1 nIndice1 +1

FINTQ

SI nIndice2 < nLong2

AFFICHER « le résultat est : faux »

SINON

AFFICHER « le résultat est :vrai »

ENTIER FONCTION longueur(CAR str1)

DEBUT

TABLEAU CAR strCarac[100]

StrCarac str1

TANTQUE strCarac[nIndice] <> ‘ ‘

nIndice = nIndice + 1

FINTQ

RETOURNE nIndice

FIN

Inversion

Effectuer la saisie d’une chaîne de caractères qui contiendra un nom et un prénom.

Les prénoms composés seront obligatoirement séparés par des tirets.

Afficher une chaîne de caractères sous forme prénom nom séparés par un espace, en ayant fait disparaître les tirets saisis dans le prénom.

Ecrire la procédure en pseudo-code (éventuellement ensuite avec un langage).

Ne pas utiliser les instructions de type concaténation et recherche d’un caractère dans une chaîne.

Corrigé

A vos neurones

CAR strNomPrenom

Ag00013_ TABLEAU CAR strOctet[30], strNom[30]

ENTIER nCurseur, nCurseur2, nIndice, nFinPrenom, nDebutPrenom;

AFFICHER « entrer un nom et un prénom »

LIRE strNomPrenom

StrOctet strNomPrenom;

nCurseur longueur(strSaisie) – 1 // utilisation d’une procédure écrite en page 56

TANTQUE nCurseur >= 1 ET strOctet(nCurseur) =  » « 

nCurseur nCursur –1

FINTQ

SI nCurseur = 0 ALORS

AFFICHER « Vous n’avez rien saisi »

SINON

nFinPrenom nCurseur

TANTQUE nCurseur >= 1 ET strOctet(nCurseur) <>  » « 

nCurseur nCurseur1

FINTQ

SI nCurseur = 0 ALORS

AFFICHER « Vous n’avez saisi que le prénom »;

SINON

NCurseur2 1;

nDébutPrenom nCurseur + 1;

POUR nIndice ALLANT DE nDebutPrenom A nFinPrenom PAS 1

SI strOctet (nIndice) = « – » ALORS

StrResultat(nCurseur2)  » « :

SINON

StrResultat(nCurseur2) StrOctet(nIndice);

FINSI;

nCurseur2 nCurseur2 + 1;

FINPOUR;

nCurseur nDebutPrenom – 2; // envoi du nom après le prénom

StrNom(nCurseur2)  » « :

POUR nIndice ALLANT de 1 A nCurseur

nCurseur2 nCurseur2 + 1;

StrNom(nCurseur2) StrOctet(nIndice);

FINPOUR;

FINSI

FINSI

AFFICHER « Le résultat est :  » strNom

Palindrome

Déterminer si une chaîne de caractères est un palindrome.

Un palindrome est une phrase qui peut se lire dans les deux sens.

Les espaces sont ignorés.

Exemple : esope reste ici et se repose.

Le terminateur est ici un point.

Donnez l’algorithme du programme.

Corrigé

A vos neurones

CAR strSaisie, strOctet

Ag00013_ TABLEAU CAR strPhrase1[100];

ENTIER nIndice 1, nIndice2;

BOOLEEN bOK;

AFFICHER « entrer la phrase terminée par un point »

LIRE strSaisie

strPhrase1 strSaisie

bOK = vrai

nIndice1 1;

// recherche longueur de la phrase

nIndice2 1;

TANTQUE strPhrase1(nIndice2) <> « . »

nIndice2 nIndice2 +1

FINTQ

nIndice2 nIndice2 -1

TANTQUE nIndice1 <= nIndice2 ET bOk = vrai

SI strPhrase1(nIndice1) =  »  » ALORS

TANTQUE strPhrase1(nIndice1) =  »  » ET nIndice1 <= nIndice2

nIndice1 nIndice1 +1

FINTQ

FINSI

SI strPhrase1(nIndice2) =  »  » ALORS

TANTQUE strPhrase1(nIndice2) =  »  » ET nIndice1 <= nIndice2

nIndice2 nIndice2 – 1

FINTQ

FINSI

SI strPhrase1(nIndice1) = strPhrase1(nIndice2) ALORS

nIndice2 nIndice2 – 1

nIndice1 nIndice1 +1

SINON

bOK = faux

FINSI

FINTQ

SI bOk = vrai ALORS

AFFICHER « La phrase est un palindrome »;

SINON

AFFICHER « La phrase n’est pas un palindrome »;

FINSI

Cryptage

Crypter une phrase en codant les lettres en fonction du mot où elles se trouvent.

Soit une phrase terminée par un point.

Les espaces sont des séparateurs de mot et sont transcrits sans modification.

Il s’agit de la crypter en codant chaque mot suivant son rang dans la phrase.

Au mot de rang 1, on crypte ses lettres avec les lettres qui suivent dans l’alphabet.

Au mot de rang 2, on crypte ses lettres avec les lettres qui suivent de 2 caractères dans l’alphabet. etc …

Par convention, la lettre suivant le caractère Z est le caractère A.

Les espaces sont des séparateurs de mot et sont transcrits sans modification.

Exemple :

Phrase : LE CHAT EST GRIS .

Rang : 1 2 3 4

Résultat : MF EJCV HVW KVMW.



Corrigé

Ag00013_ CAR strSaisie,

ENTIER nIndice1,nIndice2,nRang,

TABLEAU CAR strPhrase1[100], strAlphabet[26] strResultat[100]

AFFICHER « entrer la phrase terminée par un point »

LIRE strSaisie

strPhrase1 strSaisie

strAlphabet [A,B,C,D,E,F,G,H,I,J,K,L,M,N,O,P,Q,R,S,T,U,V,W,X,Y,Z]

nIndice1 1

nRang 1

TANTQUE strPhrase1(nIndice1) <> « . »

SI strPhrase1(nIndice1) <>  »  » ALORS

// recherche indice lettre

nIndice2 0

TANTQUE strPhrase1(nIndice1) <> strAlphabet (nIndice2)

nIndice2 nIndice2 + 1

FINTQ

// recherche rang indice de la lettre résultante

nIndice2 nIndice2 +nRang

SI nIndice2 > 26 ALORS

nIndice2 nIndice2 – 26

FINSI;

StrResultat (nIndice1) strAlphabet (nIndice2)

SINON

StrResultat (nIndice1)  » « 

NRang nRang + 1

FINSI

nIndice1 nIndice1 +1

FINTQ

AFFICHER « le résultat est :  » , strResultat;

Comptage

Compter le nombre de mots d’une phrase ayant une terminaison donnée.

Soit une phrase terminée par un point.

Les espaces sont des séparateurs de mot.

Il s’agit de donner le nombre de mots de la phrase ayant pour terminaison la chaîne intitulée terminaison.

Exemple : Caractère final : .

Phrase : rien ne sert de courir il faut partir à point il ne faut pas rire.

Terminaison : rir

Résultat : 1

Note : les terminaisons de longueur nulle indiquent à la procédure qu’il faut renvoyer le nombre de mots de la phrase.

Ecrire la procédure en pseudo code

Corrigé

A vos neurones

CAR strSaisie,

Ag00013_ TABLEAU CAR strPhrase1[100], strTermine[10], strMot[26];

BOOLEEN bOk;

ENTIER nIndice1,nIndice2, nIndice3,nIndice4,nLong,, nLongMot, nCpt;

AFFICHER « entrer la phrase terminée par un point »

LIRE strPhrase1

nLong Phrase 0; // longueur de la phrase saisie

TANTQUE strPhrase1(nLongPhrase )<> « . » ET nLongPhrase < 100

NLongPhrase nLongPhrase + 1

FINTQ

AFFICHER « entrer la terminaison « 

LIRE strTermine

nCpt 0

nLong 0 // longueur de strTermine

TANTQUE strTermine(nLong) >= ‘A’ et strTermine(nLong) <= « Z »

NLong nLong + 1

FINTQ

nIndice1 1;

TANTQUE strPhrase1(nIndice1) <> « . » ET nIndice1< nLongPhrase

nIndice2 1 // recherche le mot

strMot  » « 

TANTQUE strPhrase1(nIndice1) <>  »  » ET strPhrase1(nIndice1) <> « . »

StrMot(nIndice2) strPhrase1(nIndice1)

nIndice2 nIndice2 + 1

nIndice1 nIndice1 + 1

FINTQ;

nLongMot nIndice2

SI nLong <> 0 ALORS

SI nLong <= nLongMot ALORS

bOk vrai

nIndice3 1

nDepart nLongMot – nLong

POUR nIndice4 ALLANT DE nDepart A nLongMot PAS 1

SI strTermine(nIndice3) <> strMot(nIndice4) ALORS

bOk faux

FINSI

nIndice3 nIndice3 + 1;

FINPOUR;

SI bOk = vrai ALORS nCpt nCpt + 1; FINSI

FINSI;

SINON;

NCpt nCpt + 1;

FINSI;

nIndice1 nIndice1 +1;

FINTQ

AFFICHER « le résultat est :  » , nCpt;

Les tris

Dans tous les exercices qui suivent, nous étudierons différents algorithmes permettant de trier un tableau de 10 entiers.

Afin d’expliquer les algorithmes, on prendra en exemple le tableau suivant :

52 10 1 25 62 3 8 55 3 23

Le tri par sélection

Le premier algorithme auquel on pense pour effectuer ce tri est celui-ci :

on cherche le plus petit élément du tableau et on le place en 1er, puis on cherche le plus petit dans ce qui reste et on le met en second, etc…

52 10 1 25 62 3 8 55 3 23

1 52 10 25 62 3 8 55 3 23

1 3 52 10 25 62 8 55 3 23

1 3 3 52 10 25 62 8 55 23

1 3 3 8 52 10 25 62 55 23

1 3 3 8 10 52 25 62 55 23

1 3 3 8 10 23 52 25 62 55

1 3 3 8 10 23 25 52 62 55

1 3 3 8 10 23 25 52 62 55

1 3 3 8 10 23 25 52 55 62

Écrire l’algorithme qui permet de réaliser ce tri.

Corrigé

A vos neurones

ENTIER nIndice1, nIndice2, nPetit, nPosition

TABLEAU ENTIER nTab[10]

ChargTableau // appelle d’une procédure de chargement du tableau

POUR nIndice1 ALLANT de 1 A 9

nPetit nTab( nIndice1 )

POUR nIndice2 ALLANT DE nIndice1 A 10

SI (nTab( nIndice2 ) < nPetit) ALORS

nPetit nTab( nIndice2 )

nPosition nIndice2

FINSI

FinPour

POUR nIndice2 ALLANT DE nPosition A nIndice1+1 PAS -1

nTab( nIndice2 ) nTab(nIndice2-1)

FinPour

nTab( nIndice1 ) nPetit

FinPour

Le tri bulle

Le tri bulle est un tri plus astucieux. Son principe est de faire remonter petit à petit un élément trop grand vers le haut du tableau en comparant les éléments deux à deux.

Si l’élément de gauche est supérieur à son voisin de droite on les inverse et on continue avec le suivant. Lorsque l’on est en haut du tableau on repart au début et on s’arrête lorsque tous les éléments sont bien placés.

52 10 1 25 62 3 8 55 3 23

10 52 1 25 62 3 8 55 3 23

10 1 52 25 62 3 8 55 3 23

10 1 25 52 62 3 8 55 3 23

10 1 25 52 62 3 8 55 3 23

10 1 25 52 3 62 8 55 3 23

10 1 25 52 3 8 62 55 3 23

10 1 25 52 3 8 55 62 3 23

10 1 25 52 3 8 55 3 62 23

10 1 25 52 3 8 55 3 23 62

On a parcouru tout le tableau, on recommence, jusqu’à ce que tout soit bien placé.

Écrire l’algorithme qui réalise ce tri.

Corrigé

A vos neurones

ENTIER nIndice1, nIndice2, nTampon

BOOLEEN bInversion;

TABLEAU ENTIER nTab[10]

chargTableau // appelle d’une procédure de chargement du tableau

bInversion vrai

TantQue bInversion = vrai

inversion FAUX

POUR nIndice1 ALLANT DE 1 A 9

SI (nTab(nIndice1) > nTab(nIndice1+1))

nTampon nTab(nIndice1)

nTab(nIndice1) nTab(nIndice1+1)

nTab(nIndice1+1) nTampon

bInversion VRAI

FINSI

FinPour

FINTQ

Le tri par permutation

Le tri par permutation est le tri du jeu de cartes.

On parcourt le tableau jusqu’à ce que l’on trouve un élément plus petit que le précédent, donc mal placé. On prend cet élément et on le range à sa place dans le tableau puis on continue la lecture. On s’arrête à la fin du tableau.

52 10 1 25 62 3 8 55 3 23

10 52 1 25 62 3 8 55 3 23

1 10 52 25 62 3 8 55 3 23

1 10 25 52 62 3 8 55 3 23

1 3 10 25 52 62 8 55 3 23

1 3 8 10 25 52 62 55 3 23

1 3 8 10 25 52 55 62 3 23

1 3 3 8 10 25 52 55 62 23

1 3 3 8 10 23 25 52 55 62

Écrire l’algorithme qui réalise ce tri.

Corrigé

A vos neurones

ENTIER nIndice1, nIndice2, nIndice3, nABouger

TABLEAU ENTIER nTab[10]

chargTableau // appelle d’une procédure de chargement du tableau

POUR nIndice1 ALLANT DE 1 A 9

SI (nTab(nIndice1+1) < nTab(nIndice1))

abouger nTab(nIndice1+1);

nIndice2 1;

TantQue ((nIndice2 < nIndice1) ET (nTab(nIndice2) < nTab(nIndice1+1)))

nIndice2 nIndice2+1

FINTQ

POUR nIndice3 ALLANT DE nIndice1+1 A nIndice2+1 PAS -1

nTab(nIndice3) nTab(nIndice3-1)

FinPour

nTab(nIndice2) abouger;

FINSI

FinPour

OU BIEN

POUR nIndice1 ALLANT DE 2 A 10

SI (nTab(nIndice1) < nTab(nIndice1 – 1))

nIndice2 nIndice1

FAIRE

x nTab(nIndice2-1)

nTab(nIndice2-1) nTab(nIndice2)

nTab(nIndice2) x

nIndice2 nIndice2-1

JUSQUA ((nIndice2 = 1) OU (nTab(nIndice2 – 1) < nTab(nIndice2)) )

FINSI

FINPOUR

le tri par comptage

Le tri par comptage consiste pour chaque élément du tableau à compter combien d’éléments sont plus petits que lui, grâce à ce chiffre on connaît sa position dans le tableau résultat.

52 10 1 25 62 3 8 55 3 23

nbre de plus petit 7 4 0 6 9 1 3 8 1 5

position 8 5 1 7 10 2 4 9 3 6

1 3 3 8 10 23 25 52 55 62

Corrigé

A vos neurones

ENTIER nIndice1, nIndice2

TABLEAU ENTIER nTab[10], nResultat[10], nPosition[10]

ChargTableau // appelle d’une procédure de chargement du tableau

POUR nIndice1 ALLANT DE 1 A 10

nResultat( nIndice1 ) 0

nPosition( nIndice1 ) 0

/* calcul des compteurs */

POUR nIndice2 ALLANT DE 1 A 10

SI nTab( nIndice2 ) < nTab( nIndice1 )

nPosition( nIndice1 ) nPosition ( nIndice1 ) + 1

FINSI

FinPour

FinPour

POUR nIndice1 ALLANT DE 1 A 10

nIndice2 nPosition ( nIndice1 )

TantQue nResultat(nIndice2) <> 0 /* pour le cas des doubles */

nIndice2 nIndice2+1

FINTQ

nResultat(nIndice2) nTab( nIndice1 )

FinPour

Le tri alphabétique

Le programme consiste à saisir des mots (au maximum 10) de 20 caractères maximum et de les insérer dans un tableau dans l’ordre alphabétique. Puis d’afficher ensuite ce tableau.

Le tableau résultat est du type TABLEAU CAR [10,20].

Corrigé

A vos neurones

ENTIER nbMots // nombre de mots saisis

ENTIER nbLignes = 10 // nombre maxi de saisies possibles

ENTIER nbColonnes = 20 // taiile maxi des mots saisis

TABLEAU CAR strLettre[nbLignes ][ nbColonnes ] // tableau pour le tri à 2 dimensions

TABLEAU CAR strMot [nbColonnes ] // tableau pour mot saisi

ENTIER nLigne // pointeur se déplaçant de ligne en ligne

ENTIER nColonne // pointeur se déplaçant de colonne en colonne

ENTIER nIndice, nLongMot

BOOLEEN bPlusPetit

ChargTableau // appelle d’une procédure de chargement du tableau

POUR nbmots ALLANT DE 1 A nbLignes

AFFICHER « entrer le mot suivant »

LIRE strMot

bPlusPetit VRAI

nLigne 1

TANTQUE (bPlusPetit = vrai ET (nLigne < nbmots) )

nColonne 1

TantQue ((strLettre(nLigne, nColonne) = strMot(nColonne))
ET nColonne <= 20)

nColonne nColonne +1

FINTQ

SI (strLettre(nLigne, nColonne) < strMot(nColonne))

ALORS

nLigne nLigne + 1

SINON

bPluspetit FAUX

FINSI

FINTQ

SI (nLigne < nbMots ET nbMots <> 0

POUR nIndice ALLANT DE nbmots A nLigne PAS -1

POUR nColonne ALLANT DE 1 A nbColonnes

strLettre(nIndice, nColonne) strLettre(nIndice -1, nColonne)

FinPour

FinPour

FINSI

POUR nColonne ALLANT DE 1 A 20

strLettre(nLigne,nColonne) strMot(nColonne)

FinPour

FinPour

POUR nLigne ALLANT de 1 A nbMots

AFFICHER strLettre(nLigne)

FinPour

Le calcul des heures

Le programme réalise l’addition de deux données exprimées en HH :MM:SS et affiche le résultat sous la même forme.

Corrigé

A vos neurones

ENTIER nIndice,,nHeureTotal, nMinuteTotal, nSecondeTotal

TABLEAU ENTIER nHeure[2], nMinute[2], nSeconde[2]

Pour nIndice allant de 1 a 2

AFFICHER « entrer l’heure »

LIRE nHeure(nIndice )

AFFICHER « entrer les minutes »

LIRE nMinute(nIndice )

AFFICHER « entrer les sécondes »

LIRE nSeconde(nIndice)

FinPour

nSecondeTotal nSeconde( 1 )+ nSeconde ( 2 )

SI (nSecondeTotal >= 60)

nSecondeTotal nSecondeTotal – 60

nMinuteTotal 1

SINON

nMinuteTotal 0

FINSI

nMinuteTotal nMinuteTotal+ nMinute ( 1 )+ nMinute ( 2 )

SI (nMinuteTotal >= 60)

nMinuteTotal nMinuteTotal – 60

nHeureTotal 1

SINON

nHeureTotal 0

nHeureTotal nHeureTotal + nHeure ( 1 )+ nHeure ( 2 )

AFFICHER H(1) « : » M(1) « : » S(1)

AFFICHER « + »

AFFICHER H(2) « : » M(2) « : » S(2)

AFFCHER « = »

AFFICHER « Le résultat est » + nHeuresTotal +  » heures  »
+ nMinuteTotal +  » minutes et  »
+ nSecondeTotal  » secondes « 

Le jeu du pendu

Écrire le programme du jeu du pendu.

Le principe est le suivant :

Un premier joueur choisit un mot de moins de 10 lettres.

Le programme affiche _ _ _ _ _ _ _ avec un _ par lettre.

Le deuxième joueur propose des lettres jusqu’à ce qu’il ait trouvé le mot ou qu’il soit pendu (11 erreurs commises).

A chaque proposition le programme réaffiche le mot avec les lettres découvertes ainsi que les lettres déjà annoncées et le nombre d’erreurs.

En deuxième partie:

Réécrire le jeu du pendu en utilisant des fonctions et/ou procédures.

Ag00431_ Corrigé

A vos neurones

TABLEAU CAR cMot[10], cDevine[10]

TABLEAU CAR cLettres[26]

ENTIER nblettres, nbechecs, nIndice1, nbtrouves

BOOLEEN bGagne, bAbsent

AFFICHER « entrer le mot a deviner »

LIRE cMot

// recherche longueur du mot à trouver

i 1

TANTQUE (cMot(nIndice1) <> ‘ ‘)

nIndice1 nIndice1+1

FINTQ

// met des tirets pour chaque lettre du mot à trouver

nblettres nIndice1 – 1;

POUR nIndice1 ALLANT DE 1 A nblettres

devine(nIndice1) ‘_’

FinPour

// analyse si lettre est présente dans le mot à trouver

nbEchecs 0

nbtrouves 0

bGagne faux

TANTQUE nbEchecs < 11 ET bGagne = faux

AFFICHER devine

AFFICHER lettres « nombre d’echecs  » nbechecs

AFFICHER « entrer une lettre »

LIRE cLettre

lettres(nbtrouve+nbechecs+1) cLettre

bAbsent VRAI

POUR nIndice1 ALLANT DE 1 A nblettres

SI mot(nIndice1) = cLettre

devine(nIndice1) = mot(nIndice1)

nbtrouves nbtrouves + 1

bAbsent FAUX

SI (nbtrouve = nblettres)

bGagne VRAI

FINSI

FINSI

FinPour

SI (bAbsent) = vrai

nbechecs nbechecs + 1

FINSI

FINTQ

SI (gagne)

AFFICHER « vous avez gagne »

SINON

AFFICHER « vous êtes pendu » FINSI

Le crible d’Erathostène

Cet algorithme permet d’afficher progressivement la liste des nombres premiers inférieurs à une valeur donnée : MAX.

Pour ce faire, on construit un tableau de MAX éléments, vide au départ, que l’on parcourt.

Chaque fois que la case est vide cela signifie que l’indice du tableau est un nombre premier, on l’affiche puis on remplit avec une valeur quelconque toutes les cases du tableau indicées par un multiple de l’indice courant.

exemple pour MAX = 10

tableau au départ = 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

indice :

1 1 est un nombre premier (je ne marque rien !)
2 2 est un nombre premier ==> je marque 1 pour tableau (2)
je marque 1 pour tableau (2 + 2)
je marque 1 pour tableau (2 +2 +2)
tableau = 0 1 0 1 0 1 0 1 0 1
3 3 est un nombre premier ==> je marque 1 pour tableau(3)
je marque 1 pour tableau (3 + 3)
je marque 1 pour tableau (3 +3 +3)
tableau = 0 1 1 1 0 1 0 1 1 1
4 4 n’est pas un nombre premier car il est déjà à 1
5 5 est un nombre premier ==> je marque etc….

Écrire un programme qui demande un nombre et affiche tous les nombres premiers inférieurs au nombre donné.

A vos neurones

  Quelques corrigés en langage Java

Remarque : ces classes programmes sont perfectibles : il y manque l’aspect contrôle des informations saisies volontairement ignoré ici.

D’autre part le \r est parfois à remplacé par \n si Jbuilder 4 et plus.

Alternative

package TestAlgo;

import java.lang.*;

public class Alternative

{

public static String lire() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

char C;

while((C=(char)System.in.read()) != ‘\r’) // ou \n

{

if (C != ‘\n’)

{

strSaisie = strSaisie + C;

}

}

return strSaisie;

}

public static int convertStringInt(String strEntier)

{

Integer intConv = new Integer(strEntier);

int nConv = intConv.intValue();

return nConv;

}

public static float convertStringFloat(String strEntier)

{

Integer intConv = new Integer(strEntier);

float nConv = intConv.floatValue();

return nConv;

}

/**

* Point d’entrée principal de l’application.

*/

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strRepMarie;

int nEnfants;

double nParticipation;

float nSalaire;

System.out.println(« L’employ\u201A est-il mari\u201A (O/N) ? »);

….strRepMarie = lire();

System.out.println(« Combien a-t-il d’enfants ? »);

String strEnfants = lire();

nEnfants = convertStringInt(strEnfants);

System.out.println(« Quel est son salaire ? »);

String strSalaire = lire();

nSalaire = convertStringFloat(strSalaire);

if (strRepMarie.equals(« N ») == true)

{

nParticipation = 0.2;

}

else

nParticipation = 0.25;

nParticipation = nParticipation + (nEnfants * 0.1);

if (nSalaire <= 6000)

nParticipation = nParticipation + 0.1;

if (nParticipation > 0.5)

{

nParticipation = 0.5;

}

System.out.println(« la participation est de :  » + nParticipation);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = lire();

}

}

Alternative2

package TestAlgo;

import java.lang.*;

public class Alternative2

{

public static String lire() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

char C;

while((C=(char)System.in.read()) != ‘\r’) // ou \n

{

if (C != ‘\n’)

{

strSaisie = strSaisie + C;

}

}

return strSaisie;

}

public static int convertStringInt(String strEntier)

{

Integer intConv = new Integer(strEntier);

int nConv = intConv.intValue();

return nConv;

}

public static float convertStringFloat(String strEntier)

{

Integer intConv = new Integer(strEntier);

float nConv = intConv.floatValue();

return nConv;

}

/**

* Point d’entrée principal de l’application.

*/

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strRepMarie;

int nEnfants;

double nParticipation;

float nSalaire;

boolean bSuite;

bSuite = true;

while (bSuite == true)

{

System.out.println(« L’employ\u201A est-il mari\u201A ? (O/N) ? »);

strRepMarie = lire();

System.out.println(« Combien a-t-il d’enfants ? »);

String strEnfants = lire();

nEnfants = convertStringInt(strEnfants);

System.out.println(« Quel est son salaire ? »);

String strSalaire = lire();

nSalaire = convertStringFloat(strSalaire);

if (strRepMarie.equals(« N ») == true)

{

nParticipation = 0.2;

}

else

nParticipation = 0.25;

nParticipation = nParticipation + (nEnfants * 0.1);

if (nSalaire <= 6000)

nParticipation = nParticipation + 0.1;

if (nParticipation > 0.5)

nParticipation = 0.5;

System.out.println(« la participation est de :  » + nParticipation);

System.out.println(« Voulez-vous continuer ? O / N ? »);

String strBidon = lire();

if (strBidon.equals(« N ») == true)

bSuite = false;

}

}

}

Boucle

package TestAlgo;

public class Boucle

{

public static String lire() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

char C;

while((C=(char)System.in.read()) != ‘\r’) // ou \n

{

if (C != ‘\n’)

{

strSaisie = strSaisie + C;

}

}

return strSaisie;

}

public static int convertStringInt(String strEntier)

{

Integer intConv = new Integer(strEntier);

int nConv = intConv.intValue();

return nConv;

}

/**

* Point d’entrée principal de l’application.

*/

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

double nSomme;

double nMoyenne;

int nNombreFrappes;

int nSaisie;

nSomme = 0;

nNombreFrappes = 0;

nSaisie = 99999;

while (nSaisie != 0)

{

System.out.println(« entrer un entier? »);

String strEntier = lire();

nSaisie = convertStringInt(strEntier);

if (nSaisie != 0)

{

nNombreFrappes = nNombreFrappes + 1;

nSomme = nSomme + nSaisie;

}

else

{

nMoyenne = (nSomme / nNombreFrappes);

System.out.println(« La somme =  » + nSomme +  » La moyenne =  » + nMoyenne);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = lire();

}

}

}

}

Statistiques

package TestAlgo;

import java.lang.*;

public class Statistiques

{

public static String lire() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

char C;

while((C=(char)System.in.read()) != ‘\r’) // ou \n

{

if (C != ‘\n’)

{

strSaisie = strSaisie + C;

}

}

return strSaisie;

}

public static int convertStringInt(String strEntier)

{

Integer intConv = new Integer(strEntier);

int nConv = intConv.intValue();

return nConv;

}

/**

* Point d’entrée principal de l’application.

*/

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

int nMini;

int nMaxi;

int nSomme;

double nMoyenne;

int nIndice;

int nbNombre;

int nSaisie;

int nTab[] = new int[50];

System.out.println(« entrer un entier? »);

String strEntier = lire();

nSaisie = convertStringInt(strEntier);

nbNombre = 0;

while (nSaisie != 0 & nbNombre < 50)

{

if (nSaisie != 0)

{

nbNombre = nbNombre + 1;

nTab[nbNombre] = nSaisie;

}

System.out.println(« entrer un entier? »);

strEntier = lire();

nSaisie = convertStringInt(strEntier);

}

nSomme = 0;

nMini = nTab[1];

nMaxi = nTab[1];

for (nIndice = 1; nIndice <= nbNombre; nIndice++)

{

nSomme = nSomme + nTab[nIndice];

if (nTab[nIndice] < nMini)

nMini = nTab[nIndice];

if (nTab[nIndice] > nMaxi)

nMaxi = nTab[nIndice];

}

nMoyenne = ((double)nSomme / nbNombre);

System.out.println(« La somme =  » + nSomme +  » La moyenne =  » + nMoyenne);

System.out.println(« Le mini =  » + nMini +  » Le maxi =  » + nMaxi);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = lire();

}

}

Contraction

package TestAlgo;

public class Contraction

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strSaisie;

char[] strPhrase1 = new char[100];

byte[] strResultat = new byte[100];

char strOctet;

char strFin = ‘.’;

int nIndice1;

int nIndice2;

System.out.println(« Saisir la phrase termin\u201Ae par un point »);

strSaisie = Alternative.lire();

strPhrase1 = strSaisie.toCharArray();

System.out.println(« Saisir la lettre à retirer »);

strSaisie = Alternative.lire();

strOctet = strSaisie.charAt(0);

nIndice1 = 0;

nIndice2 = 0;

while (strPhrase1[nIndice1] != strFin )

{

if (strPhrase1[nIndice1] != strOctet)

{

strResultat[nIndice2] = (byte)strPhrase1[nIndice1];

nIndice2 = nIndice2 + 1;

}

nIndice1 = nIndice1 + 1;

}

String strAffiche = new String(strResultat);

System.out.println(« Le r\u201Asultat est  » + strAffiche);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Doublons

package TestAlgo;

public class Doublons

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strSaisie;

char[] strPhrase1 = new char[100];

byte[] strResultat = new byte[100];

char strOctet;

char strFin = ‘.’;

int nIndice1;

int nIndice2;

System.out.println(« Saisir la phrase termin\u201Ae par un point »);

strSaisie = Alternative.lire();

strPhrase1 = strSaisie.toCharArray();

strOctet = ‘ ‘;

nIndice1 = 0;

nIndice2 = 0;

while (strPhrase1[nIndice1] != strFin )

{

if (strPhrase1[nIndice1] != strOctet)

{

strResultat[nIndice2] = (byte)strPhrase1[nIndice1];

nIndice2 = nIndice2 + 1;

strOctet = strPhrase1[nIndice1];

}

nIndice1 = nIndice1 + 1;

}

String strAffiche = new String(strResultat);

System.out.println(« Le r\u201Asultat est  » + strAffiche);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Equivalence

package TestAlgo;

public class Equivalence

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strSaisie;

char[] strPhrase1 = new char[100];

char[] strPhrase2 = new char[100];

char strOctet;

char strFin = ‘.’;

int nIndice1;

int nIndice2;

boolean bOk;

int nLong1;

int nLong2;

System.out.println(« Saisir la premi\u0160re phrase termin\u201Ae par un point »);

strSaisie = Alternative.lire();

nLong1 = strSaisie.length();

strPhrase1 = strSaisie.toCharArray();

System.out.println(« Saisir la seconde phrase termin\u201Ae par un point »);

strSaisie = Alternative.lire();

nLong2 = strSaisie.length();

strPhrase2 = strSaisie.toCharArray();

bOk = true;

nIndice1 = 0;

nIndice2 = 0;

while (bOk == true & nIndice1 < nLong1 & nIndice2 < nLong2)

{

strOctet = strPhrase1[nIndice1];

if (strPhrase2[nIndice2] == strOctet)

{

// utilisation de && pour sortir des que < nLong2 sans évaluer le second terme

while( nIndice2 < nLong2 && strPhrase2[nIndice2] == strOctet )

{

nIndice2 = nIndice2+1;

}

}

else

bOk = false;

while(nIndice1 < nLong1 && strPhrase1[nIndice1] == strOctet )

{

nIndice1 = nIndice1+1;

}

}

if (bOk)

System.out.println(« les phrases sont \u201Aquivalentes »);

else

System.out.println(« les phrases ne sont pas \u201Aquivalentes »);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Eparpillement

public class Eparpillement

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strSaisie;

char[] strPhrase1 = new char[100];

char[] strPhrase2 = new char[100];

char strFin = ‘.’;

int nIndice1;

int nIndice2;

int nLong1;

int nLong2;

System.out.println(« Saisir la phrase termin\u201Ae par un point »);

strSaisie = Alternative.lire();

nLong1 = strSaisie.length();

strPhrase1 = strSaisie.toCharArray();

System.out.println(« Saisir le mot recherch\u201A »);

strSaisie = Alternative.lire();

nLong2 = strSaisie.length();

strPhrase2 = strSaisie.toCharArray();

nIndice1 = 0;

nIndice2 = 0;

while (nIndice2 < nLong2 & nIndice1 < nLong1)

{

if (strPhrase1[nIndice1] == strPhrase2[nIndice2])

{

nIndice2 = nIndice2 + 1;

}

nIndice1 = nIndice1 + 1;

}

if (nIndice2 < nLong2)

System.out.println(« le r\u201Asultat est faux »);

else

System.out.println(« le r\u201Asultat est vrai »);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Inversion

public class Inversion

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strNomPrenom;

char[] strOctet = new char[30];

char[] strNom = new char[30];

int nIndice;

int nCurseur;

int nCurseur2;

int nFinPrenom;

int nDebutPrenom;

System.out.println(« Entrez un nom et un pr\u201Anom s\u201Apar\u201A par un espace »);

strNomPrenom = Alternative.lire();

nCurseur = strNomPrenom.length()- 1;

strOctet = strNomPrenom.toCharArray();

// recherche de la fin du prénom

while (nCurseur >= 0 & strOctet[nCurseur] == ‘ ‘)

{

nCurseur–;

}

if (nCurseur == 0)

{

System.out.println(« Vous n’avez rien saisi »);

}

else

{

nFinPrenom = nCurseur;

// recherche début du prénom

while (nCurseur >= 0 & strOctet[nCurseur] != ‘ ‘)

{

nCurseur–;

}

if (nCurseur == 0)

{

System.out.println(« Vous n’avez saisi que le pr\u201Anom »);

}

else

{

nDebutPrenom = nCurseur +1;

nCurseur2 = 0;

for (nIndice= nDebutPrenom; nIndice <= nFinPrenom; nIndice++)

{

if (strOctet[nIndice] == ‘-‘)

strNom[nCurseur2] = ‘ ‘;

else

strNom[nCurseur2] = strOctet[nIndice];

nCurseur2++;

}

nCurseur = nDebutPrenom – 2;

strNom[nCurseur2] = ‘ ‘;

for (nIndice = 0; nIndice <= nCurseur; nIndice++)

{

nCurseur2++;

strNom[nCurseur2] = strOctet[nIndice];

}

}

}

strNomPrenom = new String(strNom);

System.out.println(« le résultat est :  » + strNomPrenom);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Palindrome

public class Palindrome

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strSaisie;

char[] strPhrase1 = new char[100];

char strOctet;

char strFin = ‘.’;

int nIndice1;

int nIndice2;

boolean bOk;

System.out.println(« Saisir la phrase termin\u201Ae par un point »);

strSaisie = Alternative.lire();

nIndice2 = strSaisie.length() – 2;

strPhrase1 = strSaisie.toCharArray();

bOk = true;

nIndice1 = 0;

while (bOk && nIndice1 <= nIndice2)

{

if (strPhrase1[nIndice1] == ‘ ‘)

{

while (strPhrase1[nIndice1] == ‘ ‘ && nIndice1 <= nIndice2)

{

nIndice1++;

}

}

if (strPhrase1[nIndice2] == ‘ ‘)

{

while (strPhrase1[nIndice2] == ‘ ‘ && nIndice1 <= nIndice2)

{

nIndice2–;

}

}

if (strPhrase1[nIndice1] == strPhrase1[nIndice2])

{

nIndice1++;

nIndice2–;

}

else

bOk = false;

}

if (bOk)

System.out.println(« la phrase est un palindrome »);

else

System.out.println(« la phrase n’est pas un palindrome »);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Cryptage

public class Cryptage

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

int nIndice1;

int nIndice2;

int nRang;

String strSaisie;

char strPhrase1[] = new char[100];

char strAlphabet[] = new char[26];

char strResultat[] = new char[100];

char strFin = ‘.’;

System.out.println(« Saisir la phrase termin\u201Ae par un point »);

strSaisie = Alternative.lire();

strPhrase1 = strSaisie.toCharArray();

strSaisie = « abcdefghijklmnopqrstuvwxyz »;

strAlphabet = strSaisie.toCharArray();

nIndice1 = 0;

nRang = 1;

while (strPhrase1[nIndice1] != strFin)

{

if (strPhrase1[nIndice1] != ‘ ‘)

{

nIndice2 =0;

while (strPhrase1[nIndice1] != strAlphabet[nIndice2])

{

nIndice2++;

}

nIndice2 = nIndice2 + nRang;

if (nIndice2 > 25)

nIndice2 = nIndice2 – 26;

strResultat[nIndice1] = strAlphabet[nIndice2];

}

else

{

strResultat[nIndice1] = ‘ ‘;

nRang++;

}

nIndice1++;

}

strSaisie = new String(strResultat);

System.out.println(« le r\u201Asultat est :  » + strSaisie);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Comptage

public class Comptage

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

String strSaisie;

char[] strPhrase1 = new char[100];

char[] strTermine = new char[10];

char[] strMot = new char[26];

char strFin = ‘.’;

int nIndice1;

int nIndice2;

int nIndice3;

int nIndice4;

int nLongPhrase;

int nLong;

int nLongMot;

int nCpt;

boolean bOk;

System.out.println(« Saisir une phrase termin\u201Ae par un point »);

strSaisie = Alternative.lire();

nLongPhrase = strSaisie.length();

strPhrase1 = strSaisie.toCharArray();

System.out.println(« Entrer la terminaison »);

strSaisie = Alternative.lire();

nLong = strSaisie.length();

strTermine = strSaisie.toCharArray();

nCpt = 0;

nIndice1 = 0;

nLongMot = 25;

while (nIndice1 < nLongPhrase && strPhrase1[nIndice1] != strFin)

{

for (nIndice2 = 0; nIndice2 < nLongMot ; nIndice2++)

{

strMot[nIndice2] = ‘ ‘;

}

nIndice2 = 0;

while(strPhrase1[nIndice1] != ‘ ‘ && strPhrase1[nIndice1] != strFin)

{

strMot[nIndice2] = strPhrase1[nIndice1];

nIndice1++;

nIndice2++;

}

nLongMot = nIndice2;

if (nLongMot > 0)

{

if (nLong <= nLongMot)

{

bOk = true;

nIndice3 = 0;

int nDepart = nLongMot – nLong;

for (nIndice4 = nDepart;nIndice4 <= nLongMot-1;nIndice4++)

{

if (strTermine[nIndice3] != strMot[nIndice4])

bOk = false;

nIndice3++;

}

if (bOk) nCpt++;

}

}

nIndice1++;

}

String strFinMessage;

if (nCpt > 1) strFinMessage = « mots »;

else strFinMessage = « mot »;

System.out.println(« le r\u201Asultat est :  » + nCpt +  »  » + strFinMessage);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}
}

Dichotomie

public class Dichotomie

{

static int nLong = 20;

static int[] nTab = new int[nLong];

public static String lire() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

char C;

while((C=(char)System.in.read()) != ‘\r’) ou \n

{

if (C != ‘\n’)

{

strSaisie = strSaisie + C;

}

}

return strSaisie;

}

public static int convertStringInt(String strEntier)

{

Integer intConv = new Integer(strEntier);

int nConv = intConv.intValue();

return nConv;

}

public static void chargTableau() throws java.io.IOException

{

System.out.println(« indiquer le nombre de poste »);

String strSaisie = lire();

nLong = convertStringInt(strSaisie);

strSaisie = «  »;

int nIndCharg = 0;

for (nIndCharg = 0;nIndCharg < nLong; nIndCharg++)

{

System.out.println(« indiquer un entier de la liste bien placé »);

strSaisie = lire();

nTab[nIndCharg] = convertStringInt(strSaisie);

}

}

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

int nAInserer;

int nDebut = 0;

int nFin;

int nbElement;

int nPosition = 0;

int nIndice;

chargTableau();

System.out.println(« indiquer l’entier à inserer »);

String strSaisie = lire();

nAInserer = convertStringInt(strSaisie);

nFin = nLong;

nbElement = nLong;

if (nFin != 0)

{

while (nbElement > 2)

{

nPosition = nbElement / 2;

int nbElt = nbElement * 2;

if (nPosition != nbElt)

nPosition++;

nPosition = nPosition + nDebut -1;

if (nTab[nPosition] < nAInserer)

{

nDebut = nPosition;

}

else

{

nFin = nPosition;

}

nbElement = nFin – nDebut + 1;

}

if (nTab[nDebut] < nAInserer)

{

nPosition = nDebut + 1;

}

else

{

nPosition = nDebut;

}

for (nIndice = nLong – 1; nIndice >= nPosition; nIndice–)

{

nTab[nIndice + 1] = nTab[nIndice];

}

}

nTab[nPosition] = nAInserer;

System.out.println(« le r\u201Asultat final est :  » );

for (nIndice = 0; nIndice < nLong+1; nIndice++)

{

System.out.print(nTab[nIndice]);

System.out.print(‘\t’);

}

System.out.print(‘\n’);

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

TriSelection

public class TriSelection

{

static int nLong = 10;

static int[] nTab = new int[nLong];

public static void chargTableau() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

int nIndCharg = 0;

for (nIndCharg = 0;nIndCharg < 10; nIndCharg++)

{

System.out.println(« indiquer un entier »);

strSaisie = Alternative.lire();

nTab[nIndCharg] = Alternative.convertStringInt(strSaisie);

}

// return strSaisie;

}

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

int nIndice1;

int nIndice2;

int nPetit;

int nPosition = 0;

chargTableau();

System.out.println(« les r\u201Asultats interm\u201Adaires sont :  » );

for (nIndice1 = 0; nIndice1 < nLong – 1; nIndice1++)

{

nPetit = nTab[nIndice1];

for (nIndice2 = nIndice1; nIndice2 < nLong; nIndice2++)

{

if ( nTab[nIndice2] < nPetit)

{

nPetit = nTab[nIndice2];

nPosition = nIndice2;

}

}

for (nIndice2 = nPosition; nIndice2 > nIndice1; nIndice2–)

{

nTab[nIndice2] = nTab[nIndice2 – 1];

}

nTab[nIndice1] = nPetit;

for (nIndice2 = 0; nIndice2 < nLong; nIndice2++)

{

System.out.print(nTab[nIndice2]);

System.out.print(‘\t’);

}

}

// String strBidon = new String(nTab);

System.out.println(« le r\u201Asultat final est :  » );

for (nIndice1 = 0; nIndice1 < nLong; nIndice1++)

{

System.out.print(nTab[nIndice1]);

System.out.print(‘\t’);

}

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

};

Tri Bulle

public class TriBulle

{

static int nLong = 10;

static int[] nTab = new int[nLong];

public static void chargTableau() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

int nIndCharg = 0;

for (nIndCharg = 0;nIndCharg < 10; nIndCharg++)

{

System.out.println(« indiquer un entier »);

strSaisie = Alternative.lire();

nTab[nIndCharg] = Alternative.convertStringInt(strSaisie);

}

// return strSaisie;

}

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

int nIndice1;

int nIndice2;

int nTampon;

boolean bInversion = true;

chargTableau();

System.out.println(« les r\u201Asultats interm\u201Adaires sont :  » );

while (bInversion)

{

bInversion = false;

for (nIndice1 = 0; nIndice1 < nLong – 1; nIndice1++)

{

if (nTab[nIndice1] > nTab[nIndice1 + 1])

{

nTampon = nTab[nIndice1];

nTab[nIndice1] = nTab[nIndice1 + 1];

nTab[nIndice1 + 1] = nTampon;

bInversion = true;

}

for (nIndice2 = 0; nIndice2 < nLong; nIndice2++)

{

System.out.print(nTab[nIndice2]);

System.out.print(‘\t’);

}

}

}

// String strBidon = new String(nTab);

System.out.println(« le r\u201Asultat final est :  » );

for (nIndice1 = 0; nIndice1 < nLong; nIndice1++)

{

System.out.print(nTab[nIndice1]);

System.out.print(‘\t’);

}

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

};

TriPermutation

public class TriPermut

{

static int nLong = 10;

static int[] nTab = new int[nLong];

public static void chargTableau() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

int nIndCharg = 0;

for (nIndCharg = 0;nIndCharg < 10; nIndCharg++)

{

System.out.println(« indiquer un entier »);

strSaisie = Alternative.lire();

nTab[nIndCharg] = Alternative.convertStringInt(strSaisie);

}

// return strSaisie;

}

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

int nIndice1;

int nIndice2;

int nIndice3;

int nABouger;

chargTableau();

System.out.println(« les r\u201Asultats interm\u201Adaires sont :  » );

for (nIndice1 = 0; nIndice1 < nLong – 1; nIndice1++)

{

if (nTab[nIndice1 +1] < nTab[nIndice1])

{

nABouger = nTab[nIndice1+1];

nIndice2 = 0;

while (nIndice2 < nIndice1 && nTab[nIndice2] < nTab[nIndice1 + 1])

{

nIndice2++;

}

for (nIndice3 = nIndice1 + 1; nIndice3 > nIndice2; nIndice3–)

{

nTab[nIndice3] = nTab[nIndice3 – 1];

}

nTab[nIndice2] = nABouger;

for (nIndice2 = 0; nIndice2 < nLong; nIndice2++)

{

System.out.print(nTab[nIndice2]);

System.out.print(‘\t’);

}

}

}

System.out.println(« le r\u201Asultat final est :  » );

for (nIndice1 = 0; nIndice1 < nLong; nIndice1++)

{

System.out.print(nTab[nIndice1]);

System.out.print(‘\t’);

}

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Tri Comptage

public class TriComptage

{

static int nLong = 10;

static int[] nTab = new int[nLong];

public static void chargTableau() throws java.io.IOException

{

String strSaisie = «  »;

int nIndCharg = 0;

for (nIndCharg = 0;nIndCharg < 10; nIndCharg++)

{

System.out.println(« indiquer un entier »);

strSaisie = Alternative.lire();

nTab[nIndCharg] = Alternative.convertStringInt(strSaisie);

}

}

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

int nIndice1;

int nIndice2 = 0;

int [] nResultat = new int[nLong];

int [] nPosition = new int[nLong];

chargTableau();

for (nIndice1 =0; nIndice1 < nLong; nIndice1++)

{

nResultat[nIndice1] = 0;

nPosition[nIndice1] = 0;

for (nIndice2 = 0; nIndice2 < nLong ; nIndice2++)

{

if (nTab[nIndice2] < nTab[nIndice1])

{

nPosition[nIndice1] = nPosition[nIndice1] + 1;

}

}

}

for (nIndice1 =0; nIndice1 < nLong; nIndice1++)

{

nIndice2 = nPosition[nIndice1];

while (nResultat[nIndice2] != 0)

{

nIndice2++;

}

nResultat[nIndice2] = nTab[nIndice1];

}

System.out.println(« le r\u201Asultat final est :  » );

for (nIndice1 = 0; nIndice1 < nLong; nIndice1++)

{

System.out.print(nResultat[nIndice1]);

System.out.print(‘\t’);

}

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

Tri Alphabétique

public class TriAlpha

{

public static void main (String[] args) throws java.io.IOException

{

int nbMots;

int nbLignes = 4;

int nbColonnes = 20;

char [][] strLettre = new char[nbLignes][nbColonnes];

char [] strMot = new char[nbColonnes];

int nLigne;

int nColonne;

int nIndice;

int nLongMot;

boolean bPlusPetit;

for (nbMots = 0; nbMots < nbLignes; nbMots++)

{

System.out.println(« Entrez le mot suivant »);

String strSaisie = Alternative.lire();

strMot = strSaisie.toCharArray();

nLongMot = strSaisie.length();

bPlusPetit = true;

nLigne = 0;

// test si même lettre dès que non ==> est-ce plus grand ?

while (bPlusPetit && nLigne < nbMots)

{

nColonne = 0;

while(strLettre[nLigne][nColonne] == strMot[nColonne]

&& nColonne < nbColonnes)

{

nColonne++;

}

if (strLettre[nLigne][nColonne] < strMot[nColonne])

{

nLigne++;

}

else

{

bPlusPetit = false;

}

}

// décalage des lignes plus grandes

if (nLigne < nbMots & nbMots != 0)

{

for (nIndice = nbMots; nIndice > nLigne ; nIndice–)

{

for (nColonne =0; nColonne < nbColonnes; nColonne++)

{

strLettre[nIndice][nColonne] = strLettre[nIndice-1][nColonne];

}

}

}

// placement du mot à la ligne qui lui revient

for (nColonne =0; nColonne < nLongMot ; nColonne++)

{

strLettre[nLigne][nColonne] = strMot[nColonne];

}

for (nColonne =nLongMot; nColonne < nbColonnes ; nColonne++)

{

strLettre[nLigne][nColonne] = ‘ ‘;

}

}

System.out.println(« le r\u201Asultat final est :  » );

for (nLigne = 0; nLigne < nbLignes; nLigne++)

{

String strSaisie = new String(strLettre[nLigne]);

System.out.print(« le mot en position  » + (nLigne+1) +  » est : « );

System.out.print(‘\t’);

System.out.println(strSaisie);

}

System.out.println(« taper n’importe quoi pour finir »);

String strBidon = Alternative.lire();

}

}

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